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Voir l'offre d'abonnementEn Wallonie, plusieurs acteurs publics et privés mènent actuellement des recherches visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre au sein des élevages. Cela doit mener au développement de solutions nouvelles et utiles aux éleveurs, leur permettant de mener leurs activités dans le respect de l’environnement.
En vue d’atteindre plus facilement les objectifs fixés par la campagne « Yes We Plant », la Wallonie vient de mettre sur pied la plateforme « Coplantons ». Fruit d’une initiative de la ministre wallonne de la Nature, Céline Tellier, celle-ci a pour objectif de faire se rencontrer des citoyens, associations, groupes d’action locale, entreprises, écoles… souhaitant bénévolement participer à des travaux de plantation et des personnes à la recherche d’un coup de main pour planter leurs haies et arbres.
Dans le cadre du programme « Yes, We Plant », 206 communes distribueront au grand public près de 300.000 plants de haies lors des deux derniers week-ends de novembre.
Le programme de mesures agroenvironnementales (MAEC) est bien connu de la plupart des agriculteurs après plus de 25 ans d’existence. Il leur permet de rendre des services environnementaux en contrepartie d’une rémunération qui en couvre les coûts et le manque à gagner. L’engagement est volontaire par période de cinq ans.
Plusieurs universités, ONG, fédérations, administrations et sociétés privées ont lancé vendredi la « Belgian Biodiversity Alliance », une plateforme destinée à encourager et visibiliser les efforts pour restaurer la biodiversité, en déclin partout dans le monde.
Le 20 octobre, le Gouvernement wallon a approuvé en première lecture le troisième Programme de réduction des pesticides pour la période 2023 à 2027. Pour la ministre régionale de l’Environnement, Céline Tellier, porteuse du texte, celui-ci « permettra de réduire l’utilisation de pesticides sur les terres wallonnes en vue de préserver l’environnement tout en proposant des actions concrètes pour veiller à la santé des agriculteurs et riverains ».
Le 18 octobre, en Commission de l’Environnement, le député wallon Nicolas Janssen a interpellé la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, au sujet des dégâts causés aux cultures par les corvidés. Ont notamment été abordés : l’accroissement des populations, la protection des cultures et la possibilité de mettre en place une indemnité couvrant les dégâts imputables aux corvidés et aux becs droits.
La guerre entre les plantes et les insectes herbivores date de centaines de millions d’années, et a conduit les deux protagonistes à une course à l’armement se traduisant par la mise en places de voies de signalisation et de barrières physiques et chimiques chez les plantes, ainsi que de stratégies de contournement chez les insectes. Mais les gènes permettant l’adaptation des insectes ont parfois une origine inattendue !
Une fois n’est pas coutume, la Raffinerie Tirlemontoise vient de lancer un projet dédié non pas à la betterave sucrière (ou, du moins, pas directement), mais bien à l’étude de la biodiversité fonctionnelle et aux moyens les plus adéquats de lui offrir le gîte et le couvert. À cet effet, pas moins de 25.000 m² de bandes fleuries ont été implantés en bordure de parcelles betteravières, en collaboration avec le Cra-w et une vingtaine de planteurs.
La coalition gouvernementale en Irlande a convenu, fin juillet, d’un plan climat qui prévoit une réduction de 51 % des émissions de gaz à effet de serre du pays par rapport aux niveaux de 2018 dont un objectif de réduction de 25 % pour le secteur agricole (-75 % pour l’électricité, -50 % pour les transports, -45 % pour les bâtiments…).
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