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Pommes de terre en zones inondées

Les fortes précipitations ont localement laissé des traces. Pensez à bien les identifier !

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D ans son avis du 20 août, la Fiwap incite à repérer et marquer les zones où l’eau a stagné suite aux précipitations relativement importantes de la fin de semaine qui vient de passer ! Ce n’est bon ni pour les prix, ni pour la conservation, ni pour les coûts de rentrer des parties de champs avec des pourries !

La filière conseille aussi de commencer aussi à penser à vos délais entre défanage et récolte. Vos cellules et hangars sont-ils propres ? Vos sondes ont-elles été étalonnées pour peu que vous ayez constaté des températures bizarres chez l’une ou l’autre en fin de saison ? Votre déterreur, vos bandes convoyeuses et sauterelles sont-elles bien en ordre ? Dans moins d’un mois, les arrachages battront leur plein.

Rendements des hâtives au plan national

Les prélèvements du Centre Interprovincial flamand de la culture de pommes de terre (Pca) le 8 août sur 4 parcelles restantes d’Anosta (dont une parcelle irriguée) montraient les résultats (finaux) suivants :

– rendement moyen brut (tous calibres, tare non déduite) : 43 t/ha. Le rendement a progressé en moyenne de 2 t/ha sur 14 jours, soit une progression moindre que la « normale », en partie à cause de la sécheresse ;

– sénescence moyenne : 90 % du feuillage. La croissance est donc quasiment terminée ;

– 71 % de gros calibre (50 mm+) ;

– PSE variant de 371 à 397 g/5 kg pour 3 parcelles, la 4e parcelle se situe à 421 g/5 kg.

La variété Anosta termine donc avec un rendement normal puisque la moyenne historique s’établit à 41 t/ha avec 75 % de 50 mm+.

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