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Un second couple de cigognes et des cigogneaux à l’Aquascope Virelles

À l’étang de Virelles, la sixième saison de nidification des cigognes est riche en rebondissements !

Temps de lecture : 2 min

Fin février, alors que le couple habituel de cigognes était déjà de retour sur le site de l’Aquascope Virelles, une tempête a fait tomber leur nid au sol. Très vite, elles se sont mises à le reconstruire en partant de zéro. Un travail effectué à une vitesse impressionnante, selon les gestionnaires de la réserve naturelle.

La couvaison a ensuite démarré sans tarder, pour un peu plus d’un mois. Et le 28 avril, des cigogneaux sont nés ! Ils seraient peut-être trois. Leur nombre sera confirmé dans les prochains jours.

Alors que ce couple était le seul, jusqu’en 2019, à nicher à l’état sauvage en Wallonie, les observations de cigognes blanches se multiplient près de l’étang depuis trois semaines déjà. Et c’est finalement mi-avril qu’un second couple a pris possession du tronc d’un vieux peuplier et y a établi son nid. La couvaison devrait démarrer rapidement pour une durée d’un mois. Les jeunes resteront ensuite au nid deux mois avant de s’émanciper.

Durant les trois mois à venir, de petites vidéos viendront alimenter la chaîne YouTube de l’Aquascope (https ://www.youtube.com/channel/UCyao_GpvsMqZ8reZaZvVf4Q) pour ne rien rater de la couvaison, de la naissance des jeunes et de leur préparation à l’émancipation.

Aussi en télévision

Vous pourrez aussi suivre cette aventure en images dans la prochaine émission du Jardin extraordinaire, le dimanche 3 mai sur La Une, à 20h20.

Pour la quatrième semaine consécutive, Tanguy Dumortier a convié les téléspectateurs à réaliser une émission spéciale et à lui envoyer des images de la nature qui nous entoure. C’est ainsi qu’Anne Sansdrap, de l’Aquascope Virelles, a proposé le sujet à Tanguy. Il faut dire qu’il est un peu le parrain des cigognes de l’Aquascope puisque les premières plateformes artificielles ont été posées en 2015 avec son aide. Anne a donc passé plus d’une vingtaine d’heures sur le site, avec un petit appareil numérique, pour enchaîner photos et vidéos de la nidification.

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