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Fegra envisage l'avenir positivement !

Fegra, la fédération sectorielle du commerce des grains et de l’agro-fourniture, a tenu son Assemblée Générale le 11 juin dernier. Elle a renouvelé pour la première fois la composition des organes statutaires. Elle représente plus de 95% du commerce des grains au niveau national, avec une production nationale de 2,3 millions de tonnes (2020) et un chiffre d'affaires de 6,5 milliards d'euros.

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Depuis sa création en 2018, Fegra – la Fédération faîtière les 3 asbl que sont Synagra, Imexgra et la Commission de la Bourse de Commerce de Bruxelles – a pris son envol : de nouveaux locaux, de nouveaux groupes de travail, une simplification logistique et administrative et l’engagement d’un conseiller technique et d’un conseiller en communication. Elle se dit donc prête pour l’avenir avec des objectifs inchangés: défendre les intérêts de ses membres, tant sur le plan national qu’international, être présente à la table des négociations et dans les structures de concertation et défendre une politique commerciale basée sur la qualité et la sécurité alimentaire des céréales livrées, au moyen de contrats commerciaux clairs. Collaborer, renforcer son expertise et informer ses membres sont au cœur de sa mission.

«Nous sommes bien sûr confrontés à de nombreux défis», a déclaré la secrétaire générale Gisèle Fichefet. «Le manque de clarté entourant le registre numérique des engrais de la Mestbank, par exemple, est un sujet brûlant qui cause beaucoup de soucis à nos membres. Nous entamons également l’actualisation des contrats commerciaux standards afin d’éviter toute ambiguïté entre acheteurs et vendeurs de céréales. En outre, notre programme de formations offre aux membres des opportunités d’accroître leur expertise professionnelle. Enfin, il y a cette réouverture au niveau social à la suite du Covid-19. Pour nos membres, le networking est essentiel : nos événements permettent aux négociants en céréales de se rencontrer, de débattre des perspectives du marché, de nouer de nouveaux contacts et de renforcer la confiance mutuelle. Avec la pandémie, cet aspect a été mis entre parenthèses. Heureusement, nous voyons le bout du tunnel. Nous sommes dans les starting blocks, et rêvons à nouveau de salles pleines», a-t-elle conclu.

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