Une application trop précoce de la fumure azotée peut occasionner des pertes d’azote qui doivent être minimisées pour éviter les gaspillages, et la pollution de l’eau et de l’air. À l’inverse, une application trop tardive peut affecter le rendement en réduisant le potentiel de croissance de la prairie. Le dilemme de l’agriculteur consiste donc à choisir la date d’application permettant une croissance suffisante de l’herbe tout en limitant les risques de gaspillage et donc de pollution. Alors comment trouver le bon compromis ?