Accueil Elevage

Biosécurité : une mise en œuvre pas toujours aisée sur le terrain

En tant que premier maillon de la chaîne, l’agriculteur est confronté à la notion de biosécurité dans son quotidien. Parfois perçue comme un investissement peu rentable ou une contrainte par certains, elle est basée sur des pratiques simples et de bon sens pour d’autres. Deux éleveurs, l’un wallon, l’autre français, ont éclairé cette notion de leur expérience lors du récent symposium organisé par la Fesass à Bruxelles.

À 57 ans, Yves-Marie Desbruyères a vu peu à peu s’évanouir les fermes de son village de Melles (Tournai) qui en comptait 24 en 1980. « Aujourd’hui, je suis le prochain à disparaître » déplore l’éleveur hennuyer qui possède un troupeau de 195 Blanc-Bleu-Belge et effectue 70 vêlages par an.

Hygiène et qualité du colostrum

...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

A lire aussi en Elevage

D’architecte paysagiste à éleveur de chèvres: une reconversion réussie!

Ovins, caprins « Paysan », c’est la dénomination choisie par Vincent Henrion pour se définir. Il y a douze ans, cet éleveur caprin a fait le grand saut vers le monde agricole, marquant ainsi un changement radical dans sa vie. Ancien architecte paysagiste, il vit désormais au rythme de sa trentaine de chèvres alpines, dont la production contribue à la fabrication des fromages de la Chèvrerie de Vissoul.
Voir plus d'articles