Accueil Au vert

Au vert

Au vert

L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

Abonnez-vous

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles

Voir l'offre d'abonnement

Question parlementaire: quelles mesures face à la prolifération des corvidés?

Le 18 octobre, en Commission de l’Environnement, le député wallon Nicolas Janssen a interpellé la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, au sujet des dégâts causés aux cultures par les corvidés. Ont notamment été abordés : l’accroissement des populations, la protection des cultures et la possibilité de mettre en place une indemnité couvrant les dégâts imputables aux corvidés et aux becs droits.

Des gènes végétaux découverts chez un insecte

La guerre entre les plantes et les insectes herbivores date de centaines de millions d’années, et a conduit les deux protagonistes à une course à l’armement se traduisant par la mise en places de voies de signalisation et de barrières physiques et chimiques chez les plantes, ainsi que de stratégies de contournement chez les insectes. Mais les gènes permettant l’adaptation des insectes ont parfois une origine inattendue !

Semée sur place, la betterave potagère a peu souffert du manque d’eau en été

Parmi les légumes du potager, la betterave est une des espèces qui a peu souffert du manque d’eau en été. Nous avions pu constater la fanaison du feuillage lors des après-midi très chauds. Le lendemain matin, le prélèvement d’eau en profondeur permettait aux plantes de récupérer. C’est surtout vrai pour les cultures semées sur place. pour les cultures plantées, l’opération de transplantation a brisé la racine pivotante et les racines secondaires percent le sol moins profondément. Les plantes ont eu davantage besoin d’arrosages.

Les chicorées frisées et scaroles, sous couches ou en serre, dès que l’espace se libère

Ce fut bien compliqué pour planter les chicorées scaroles et les frisées dans le sol desséché de nos potagers. Nous pouvons poursuivre ces plantations en couches ou en serre dès que nous avons un peu d’espace libéré par d’autres cultures. Nous pouvons réaliser ces plantations sous abris environ un mois après les dates habituelles de plantation en plein air. La récolte se fera en fin d’automne, lors des dernières semaines de l’année.

Comment gérer les besoins en eau de nos fruitiers?

Alors que l’eau constitue une ressource essentielle à la vie et la production de nos arbres fruitiers, les saisons sèches tendent à se répéter… Dans ce contexte, les arboriculteurs se doivent d’être attentifs à leurs pratiques, en vue à la fois d’économiser l’eau mais aussi de l’apporter de la meilleure des manières, parfois en optant pour un système d’irrigation.

Le choix des lecteurs

«Le Pays de Herve, un exemple typique d’agroforesterie traditionnelle»

Depuis 2012, l’association wallonne d’agroforesterie, l’AWAF, fait la promotion de l’agroforesterie en Wallonie et à Bruxelles. Mais de quoi s’agit-il exactement et quelles sont les activités concrètes de cette asbl ? Géraud de Streel, bio-ingénieur à l’association nous éclaire à ce sujet.

Planteurs et raffinerie s’associent pour favoriser la biodiversité fonctionnelle

Une fois n’est pas coutume, la Raffinerie Tirlemontoise vient de lancer un projet dédié non pas à la betterave sucrière (ou, du moins, pas directement), mais bien à l’étude de la biodiversité fonctionnelle et aux moyens les plus adéquats de lui offrir le gîte et le couvert. À cet effet, pas moins de 25.000 m² de bandes fleuries ont été implantés en bordure de parcelles betteravières, en collaboration avec le Cra-w et une vingtaine de planteurs.

L’Irlande adopte un plan de réduction de 25% des émissions agricoles

La coalition gouvernementale en Irlande a convenu, fin juillet, d’un plan climat qui prévoit une réduction de 51 % des émissions de gaz à effet de serre du pays par rapport aux niveaux de 2018 dont un objectif de réduction de 25 % pour le secteur agricole (-75 % pour l’électricité, -50 % pour les transports, -45 % pour les bâtiments…).