Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLes experts des États membres de l’UE, réunis au sein du comité permanent sur les plantes, les animaux et l’alimentation animale et humaine, ont approuvé, lors de leur réunion des 24 et 25 mai, la proposition de la Commission européenne visant à ne pas renouveler l’autorisation du fongicide dimoxystrobine dans l’UE. Son autorisation de mise sur le marché expirera donc définitivement le 31 janvier 2024.
La météo printanière ayant perturbé les semis, les parcelles de maïs présentent des stades hétéroclites. Sur les plantules comptant minimum 5 feuilles visibles, les pucerons demeurent très discrets.
Dans son message du 8 juin, l’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave (Irbab) constate qu’en matière de pucerons, une grande diversité de situation est observée sur le territoire national. Si une partie des parcelles n’a pas encore atteint le seuil de 2 pucerons verts aptères par 10 plantes, d’autres l’ont déjà atteint trois fois.
L’année 2022 a été marquée par les crises, et cela se ressent dans l’évolution des filières bio wallonnes. En effet, celles-ci ne progressent que très faiblement, comparativement aux années précédentes. Aucune spéculation ne semble toutefois être en difficulté, ce qui est rassurant.
Les observations du réseau (16 parcelles) de ce lundi 5 juin montrent des populations de pucerons qui varient toujours d’une parcelle à l’autre mais qui sont moins importantes que la semaine dernière.
Les orges semées mi-février se trouvent désormais au stade épiaison (BBCH51-59). Les orges semées en avril sont majoritairement au stade de la dernière feuille étalée (BBCH39).
À la faveur des températures élevées, les stades de croissance du froment avancent rapidement. La grande majorité d’entre eux a atteint le stade floraison (BBCH 61-69).
Le 16 mai, l’Assemblée générale de Belplant s’est tenue à la Citadelle de Namur. Le thème de cette année, « Le règlement sur l’utilisation durable des produits de protection des plantes permet-il de réconcilier l’agriculture, la biodiversité et le changement climatique ? », a permis aux orateurs d’exprimer des points de vue parfois opposés mais aussi d’évoquer des pistes de solution.
On estime que le contrôle, c’est-à-dire la destruction ou le traitement par chaulage, bâchage ou mélange avec du fumier ou du broyat (avec retournements successifs pour les traitements à la chaux et aux matières organiques) des tas d’écarts de triage et de déterrage des pommes de terre permettrait d’économiser 2 traitements fongicides.
Deux moulins, l’un dédié aux aliments pour animaux, l’autre aux farines panifiables… Mais aussi deux histoires, à la fois similaires et différentes… À leur tête, Christian Hick, Philippe Van Laethem, Benoît Tyberghein et Benoit Brouwers. Ces quatre passionnés ont choisi d’assurer l’avenir de ces outils qui, malgré une histoire séculaire, allient modernité et technologie afin de répondre aux attentes bien actuelles de leurs clients.
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