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Dans la revue Athéna, nº 358 publiée par la Région wallonne, un passage, dans un article scientifique en page 42- « Les incendies générateurs de carbone » – m’a particulièrement choqué. L’article analysait l’impact sur le climat des incendies de forêts, savanes, fonte du permafrost, etc. Ce qui m’a révolté, c’est ce passage : « … L’idée de réduire la production de CO2 liée au trafic automobile est une option écologiquement défendable mais qui pèse peu dans ce contexte. Peut-on également rappeler que le méthane, massivement lié à l’élevage et gaz à effet de serre autrement plus puissant que le dioxyde de carbone, contribue à hauteur 14,3 % à l’émission de gaz à effet de serre (GES), soit autant que l’ensemble de la circulation automobile mondiale… ».
En Wallonie, nous avons chaque année 4 à 5 décès à la suite d’une attaque de taureau, sans compter les accidents graves. On entend encore trop souvent : « Mon taureau est méchant mais comme c’est un bon reproducteur, je le garde », ou encore « Mon taureau est gentil ». Quel taureau choisir pour améliorer sa sécurité ? Jusqu’à quel âge le garder ? Quels sont les signes qui doivent interpeller ? Quelles sont les conséquences d’un taureau méchant sur un troupeau ?
Les froments sont susceptibles d’être attaqués par des maladies cryptogamiques au niveau des racines (piétin-échaudage), des tiges (piétin-verse), des feuilles (rouilles, septoriose, oïdium) et des épis (septoriose, fusarioses). Elles peuvent altérer le rendement, soit de manière directe par la destruction des organes, soit de manière indirecte comme le piétin-verse qui affaiblit les tiges et favorise la verse. Certaines maladies peuvent également déprécier la qualité sanitaire de la récolte, comme les fusarioses qui produisent des mycotoxines pouvant se retrouver sur les grains.
Saisie par une initiative citoyenne lui demandant d’agir pour « sauver les abeilles », la commission estime avoir mis sur la table toutes les propositions législatives nécessaires. Reste aux États membres et au Parlement européen de les valider sans trop les dénaturer.
Amis agriculteurs, vous avez déjà vécu ce genre d’expérience, fatalement. Un jour ou l’autre, c’est arrivé près de chez vous, chez des connaissances, à la salle du village ou dans la famille, à l’occasion d’une fête, d’une journée spéciale : communion, mariage, baptême, enterrement, Nouvel-An, kermesse, anniversaire…
Dans son message du 4 avril, l’Insitut royal pour l’amélioration de la betterave (Irbab) attire l’attention des planteurs quant au fait qu’il reste des betteraves, non livrées lors du chargement, au bord des parcelles.
Le digestat est une matière organique dont la production est croissante. Environ 600.000 tonnes sont produites chaque année par plus de 50 stations de biométhanisation wallonnes (Valbiom 2020). À la demande de Protect’eau, l’UCLouvain a mis en place, depuis 2019, des expérimentations visant à étudier l’utilisation du digestat de biométhanisation en tant que fertilisant de la culture de pommes de terre de transformation.
Produire fruits, légumes, herbes aromatiques, voire élever des animaux au plus près du consommateur citadin, telle est la fonction de base de l’agriculture urbaine et verticale. Cependant, aussi optimale cette production puisse-t-elle être, celle-ci ne pourra jamais couvrir qu’une faible partie des besoins alimentaires d’une ville. Ce modèle est-il pour autant en perte de vitesse chez nous ? Pour le savoir, nous avons poussé la porte du bureau d’Haïssam Jijakli, professeur d’agriculture urbaine à Gembloux Agro-Bio Tech ULiège.
L’UE comptait en 2020 9,1 millions d’exploitations agricoles, soit 5,3 millions d’exploitations de moins qu’en 2005 (-37 %), selon les dernières données d’Eurostat.
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