Je donne suite à la voix de Marc Assin datée du 19 janvier dernier sur les sangliers. Ayant moi-même subi des dégâts de sangliers sur mon terrain, voici quelque temps, je suis allé voir les directeurs des chasses avoisinantes afin qu’ils interviennent dans la réparation de celui-ci. La réponse de l’un d’entre eux fut : «
Ce ne sont pas les miens, je n’en ai pas sur ma chasse. » L’autre, de bonne foi, est venu constater les dégâts, et m’a dit : «
Tu te fous de moi, pour quelques coups de groin, tu veux te faire de l’argent sur notre dos. »