Le regard de Syngenta sur les biostimulants et le biocontrôle

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Voir l'offre d'abonnementLongtemps cantonnée aux laboratoires et aux grandes entreprises technologiques, l’intelligence artificielle (IA) s’invite désormais dans les coulisses de l’agroalimentaire. Dans le secteur de la viande, elle commence à s’imposer dans les abattoirs où elle vient appuyer les efforts en matière de bien-être animal. Analyse d’images, détection d’anomalies, gain de temps pour les opérateurs, elle promet de transformer ce maillon sensible de la chaîne agroalimentaire. Pour nous éclairer sur ces évolutions, nous sommes allés à la rencontre de Michael Gore, administrateur délégué de la Fédération belge de la viande (Febev).
À l’issue d’une finale placée sous le signe de la convivialité et de l’excellence artisanale, la province de Liège a désigné, le 20 mai dernier, son « Meilleur Glacier. Dix finalistes, sélectionnés par le public, ont rivalisé de créativité pour séduire un jury d’experts. Une célébration savoureuse du savoir-faire local, entre sorbet fraise et glace pistache.
Des différences de stades de développement du froment sont encore observées. La pression des maladies reste faible si ce n’est le cas de la rouille qui nécessite plus de vigilance.
Plusieurs syndicats agricoles se sont rassemblés, le 20 mai dernier près du rond-point Schuman à Bruxelles, autour d’une mise en scène pour dénoncer les menaces pesant sur le budget de la Pac dont le financement est jugé de plus en plus précaire.
La consommation d'oeufs a encore augmenté l'année dernière en Belgique. La population en achète plus et en consomme davantage également.
La campagne Pac 2025 connaît un nouveau rebondissement avec la nouvelle prolongation de la date limite pour introduire la demande unique.
Aux côtés de plusieurs partenaires européens, la Belgique participe pour la troisième année consécutive à la campagne #PlantHealth4Life. Cette initiative transfrontalière vise à protéger la santé des végétaux et à sensibiliser le public à son importance
La semaine avant Pâques, un article du journal Le Soir (du 16 avril dernier sous la plume de F. Delepierre) tentait d’expliquer au grand public les difficultés rencontrées par le secteur bio pour atteindre ses objectifs. Alors, la faute à qui ? À quoi ?
Dans notre pays, les précipitations sont généralement bien réparties à l’échelle annuelle. Mais, il n’est pas rare qu’une période sèche se prolonge plusieurs semaines durant. Dans ce cas, il convient de réaliser les apports en eau qui répondra aux besoins des cultures potagères mais il est aussi possible d’intervenir en amont en adoptant des techniques permettant de réaliser de précieuses économies en eau.
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