Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementRéunies dans le collectif Stop Ceta-Mercosur, 450 associations et ONG demandent aux gouvernements d’abandonner l’accord entre l’UE et le Mercosur, qui doit encore être ratifié par les Vingt-sept.
Pour la Commission européenne la situation sur la plupart des marchés agricoles de l’UE est rassurante, malgré les difficultés rencontrées ces derniers mois. Un constat que ne partagent pas les parlementaires européens.
Les prix mondiaux des produits alimentaires ont de nouveau progressé en février (+2,4 % en un mois et +26,5 % en un an), pour le 9e mois consécutif, portés par la hausse des cours du sucre et des huiles végétales, selon le bulletin publié début mars par la Fao.
Le Parlement européen s’est prononcé en faveur de la mise en place d’une taxe carbone aux frontières de l’UE s’appliquant aux secteurs déjà couverts par le système d’échange de quotas d’émissions, excluant donc l’agriculture. Le secteur agricole souhaite que les engrais ne soient pas non plus concernés.
Afin de permettre un traitement plus efficace des PV de constats de dégâts et, in fine, indemniser plus rapidement les agriculteurs victimes de la sécheresse de 2020, la Wallonie se dote d’un nouveau module déclaratif permettant d’effectuer toutes les démarches nécessaires. En cas de problème, un service d’aide est disponible.
A la suite du Brexit, l’UE et les États-Unis se sont accordés sur les quotas agricoles européens dans le cadre de l’OMC.
Les perspectives de récolte et situation alimentaire révèlent la nécessité de soutenir pas moins de 45 pays dans le monde.
Un peu plus de deux mois après l’application de l’accord commercial entre l’UE et le Royaume-Uni, l’impact du Brexit est bien réel de chaque côté de la Manche.
La production massive d’insectes nourris à partir de déchets alimentaires, pour l’alimentation animale pourrait en 2030 réduire la dépendance de l’UE aux importations de protéines végétales et faire baisser les prix des céréales. Mais des obstacles légaux freinent encore ce scénario.
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