Courrier des lecteurs : tous au boulot?











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Je voudrais attirer l’attention du monde agricole ainsi que celui de la chasse. Étant issu du monde agricole et ayant plus de quarante permis, je crois pouvoir donner un avis objectif sur la relation entre les chasseurs, les agriculteurs et les autorités.

« Que mange-t-on, ce soir ? ». Cette grave question existentielle revient chaque jour dans tous les foyers. Elle prend diverses formulations, se prononce de mille et une manières, mais le challenge reste le même : de quoi sera constitué le repas principal ?


C’est l’histoire d’un petit pêcheur qui ne péchait que le matin. Son bonheur, c’était d’être avec les siens. Profiter de la vie selon lui, c’était de pouvoir faire la sieste l’après-midi et surtout, voir grandir ses gamins. Un jour, un homme en cravate l’interrompit durant son repos. Il lui demanda : « Pourquoi t’arrêtes-tu de pêcher alors que tant de poissons nagent encore dans les fonds marins ? ».







La Commission européenne a lancé le processus de ratification de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay). Nous aurons donc à voter pour ou contre cet accord en tant que députés européens.

Imaginez ce scénario saugrenu : Vous vous rendez chez votre médecin, salement enrhumé. Vous avez chopé la « crève », genre covid ou grippe, et ça dégénère en pneumonie. Toux caverneuse, sphère rhino-pharyngée explosée, poumons en feu, cœur lancé au grand galop, nausées cataclysmiques. Votre médecin vous reçoit, sourire patelin aux lèvres, et vous serre la main en débitant quelques lieux communs d’une voix enjouée. Mobilisant le peu de forces qu’il vous reste, vous lui exposez votre pathologie ; il vous écoute distraitement et fait semblant d’être désolé.

L’autre jour, nous étions trois amis autour de la table. Le ministre de la santé, Frank Vandenbroucke venait d’annoncer sa décision de réduire de 80 millions le budget « médicaments » qui se situe à 6,8 milliards € par an pour la Belgique, soit 1,1 %. Cris d’orfraie du secteur pharma, évidemment, alors que le marché belge serait, selon la presse, le plus couteux d’Europe.


Réaction à l’édito « En Flandre, la viande sacrifiée », du 25/09
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