Une formation pratique sur la résistance aux antimicrobiens, le 5 novembre











Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnement
Dans les conditions sèches actuellement rencontrées, il convient de prendre le plus grand soin des tubercules. Et ce, pour éviter les coups bleus et autres endommagements.

Soixante ans, l’âge de la maturité. Mais pour le Centre de Michamps, niché au cœur de l’Ardenne, cet anniversaire ressemble moins à une étape finale qu’à un nouveau départ. Le 26 septembre dernier, dans la salle de l’ancienne tannerie transformée en lieu de recherche et de rencontres, chercheurs, responsables politiques, partenaires et agriculteurs se sont retrouvés pour fêter une aventure scientifique et humaine toujours en pleine évolution.

La Fwa, le Boerenbond et l’Abs ont conclu un nouveau protocole avec les différentes entreprises qui installent et gèrent des canalisations de transport souterraines, représentées par Fetrapi. Celui-ci fixe les modalités d’indemnisation pour les dommages causés aux terres agricoles et aux cultures lors de travaux.

Au sein d’une agriculture européenne en quête de sens et d’équilibre, la filière banane de Guadeloupe et de Martinique apparaît comme un exemple à la fois vertueux et menacé. Pionnière en matière de transition agroécologique, elle illustre aussi les contradictions d’un modèle agricole soumis à des impératifs environnementaux croissants, sans accompagnement économique à la hauteur. C’est ce qu’explique Agathe Huart, directrice générale du groupe Castri, acteur clef de la filière bananière aux Antilles.

Les conditions climatiques généralement bonnes de la semaine dernière ont permis une augmentation de la teneur en matière sèche du maïs fourrage de l’ordre de 2 à 3 % en Ardenne.







Les premières observations de ce début d’automne ont démarré ce 6 octobre.
Les semis les plus précoces, réalisés
fin septembre, ont désormais atteint
le stade « 2 feuilles », tandis que
les derniers champs seront semés
cette semaine.

La situation en colza d’hiver est assez calme actuellement, quoique variable d’un champ à l’autre. La surveillance continue même si les températures fraîches s’installent.

Durant la semaine écoulée, les grains ont poursuivi leur dessiccation, avec une différence observable entre les semis d’avril et ceux de mai. Ce qui se traduit également dans la possibilité de récolter, ou non, les parcelles.

Avec le contexte géopolitique complexe comme justification, l’UE et l’Indonésie ont annoncé la conclusion d’un accord commercial. Si la commission européenne a beaucoup communiqué sur les effets positifs pour l’agroalimentaire, le think tank Farm Europe émet de sérieux doutes particulièrement pour l’huile de palme.

Choisir de planter de l’ail d’automne ou plutôt celui de printemps ? C’est l’état de drainage du sol potager qui guide le jardinier… Il faut éviter que ce légume ne se retrouve dans une terre gorgée d’eau durant l’hiver. Pour ce faire, une précaution supplémentaire consiste à planter sur ados ou sur buttes. De plus, bien que ce ne soit pas une règle absolue, les variétés d’automne produisent généralement des têtes plus grosses, mais qui se conservent un peu moins longtemps que leurs homologues printaniers.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement