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Politique agricole commune: un calendrier qui inquiète…

Economie Avec les nombreux dossiers déjà sur la table – OCM, pratiques commerciales déloyales, paquet vin et simplification – qui surchargent l’agenda législatif alors que la proposition de réforme de la Pac approche, le Parlement européen et les États membres hésitent sur la marche à suivre. Les eurodéputés accélèrent l’examen des textes déjà sur la table mais demandent à Bruxelles de retarder la présentation de la Pac post-2027.
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De multiples services, requérant suffisamment de matière organique

Pour un agriculteur, les sols cultivés font figure de biens précieux. À ce titre, ils méritent la plus grande attention mais aussi l’adoption de pratiques permettant de stabiliser, si pas d’accroître, leur teneur en matière organique dont les atouts sont loin d’être négligeables.

Le choix des lecteurs

«L’Europe doit réarmer son agriculture»

Quel avenir pour l’agriculture européenne ? Cette question, qui préoccupe autant les agriculteurs que les décideurs, anime les débats au sein des institutions européennes, sur les routes des manifestations et dans les exploitations. Nous avons écouté puis questionné Arnaud Rousseau, président de la Fnsea, qui appelle les autorités européennes à engager un changement stratégique profond, plaçant le revenu des agriculteurs au cœur des politiques agricoles, une condition indispensable pour assurer la pérennité et la compétitivité du secteur.

Pâturage ovin des couverts d’interculture: une collaboration «gagnant-gagnant»

Verra-t-on bientôt de plus en plus de moutons pâturer les couverts d’intercultures dans les campagnes wallonnes ? En tout cas, cette pratique semble avoir le vent en poupe… Logique, puisqu’elle comporte de nombreux avantages, tant pour l’éleveur que pour le cultivateur. Un partenariat « gagnant-gagnant » à mettre en place en respectant plusieurs précautions, notamment sanitaires, pour qu’il tienne toutes ses promesses.

Après deux années difficiles,la consommation bio repart à la hausse

Si la consommation bio a été largement marquée par la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs, résultant de la guerre en Ukraine, elle semble progressivement inverser la tendance. Plusieurs indicateurs le confirment : le taux de pénétration du bio demeure stable, tandis que les dépenses consacrées aux denrées issues de ce mode de production augmentent, de même que les parts de marchés des produits bio.