Il n’existe pas, à l’heure actuelle, de réelle alternative chimique au glyphosate, explique mardi Bruno Schiffers, responsable du laboratoire de phytopharmacie à la faculté de Gembloux agro-bio tech. Pour cet agronome, la solution ne réside pas dans la recherche d’un remplaçant de cet herbicide controversé, mais dans l’utilisation d’autres techniques agricoles.