Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementSuite à une erreur survenue dans les déclarations 2016 portant sur la cotisation obligatoire au Fonds sanitaire – secteur « bovins », l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire a effectué un recalcul de ladite cotisation.
Du 5 au 21 mai, aura lieu dans 165 boucheries wallonnes, la 3ème édition de la «Quinzaine du Bœuf», menée par l’APAQ-W, la Fédération HoReCa et la Fédération des Bouchers.
Comment ne pas s’intéresser à un marché potentiel de plus d’un milliard de consommateurs. La Chine attire toutes les convoitises. Notre pays n’est pas en reste, qui, fort d’un premier succès dans le secteur porcin, se verrait bien y prendre une part des exportations de viande bovine. La visite d’un élevage BBB en Hesbaye que viennent d’effectuer le ministre chinois de l’Agriculture et l’ambassadeur du géant asiatique en Belgique, sous la conduite du ministre Borsus, fait partie des multiples contacts qui peuvent mener au terme de plusieurs années à la signature d’accords commerciaux majeurs.
L’amélioration du niveau de vie moyen en Chine et l’évolution des comportements alimentaires sont forcément source d’espoir auprès des pays en quête de débouchés pour leur production de viande bovine. Notre pays (voir notre reportage en page 6 et 7) n’est pas en reste et poursuit des contacts en ce sens. Mais la tâche est rude sur un marché très concurrentiel et parsemé d’obstacles.
C’est une tradition, à chaque assemblée, son exploitation ! Cette année, les éleveurs montbéliards ont mis le cap sur la Gaume et plus précisément à Habay-la-Vieille, à la Ferme de Mageroy. Jean-Marc Sizaire, l’exploitant, y trait annuellement quelque 150 laitières. Quelles soient Holstein, Montbéliardes ou croisées… Toutes ont des arguments à faire valoir. À l’éleveur de savoir en profiter.
Outre le respect de critères de base (qualité du lait, sécurité alimentaire…), les attentes des clients de l’industrie laitière se sont progressivement faites plus nombreuses, notamment sous l’influence des consommateurs et d’Ong. À charge de la filière d’y répondre. Comment ? Élément de réponse avec Renaat Debergh, administrateur délégué de la Confédération belge de l’industrie laitière (Cbl).
Les résultats définitifs du programme européen de réduction volontaire de la collecte laitière montrent que celui-ci se situe 20 % au-dessous des attentes initiales. Il a néanmoins permis un net redressement des prix à la ferme.
C’est comme ça qu’aime se décrire Françoise Tagnon, agricultrice bio, originaire de Serinchamps. Car, même si elle ne perd jamais une occasion de défendre la cause agricole, sa vie, ses passions et ses aspirations ne s’arrêtent pas à ce domaine. Elle a d’ailleurs exposé, il y a peu, ses photos au Centre Culturel des Roches à Rochefort.
Alors que la saison de pâturage vient de recommencer, il est important de garder en tête les fondamentaux à assurer. D’autant que la première sortie en prairie est relativement importante pour le jeune bétail. Il faut notamment penser au déparasitage et à l’approvisionnement en minéraux…
Le Comité du lait a récemment publié le rapport de ses activités pour l’année 2016. De celui-ci, il ressort que les résultats obtenus pour certains critères de qualité sont inférieurs à ce qui a été observé l’année dernière. A contrario, pour d’autres points d’attention, une amélioration est constatée. L’un dans l’autre, les éleveurs laitiers wallons ont donc fait un travail remarquable et livré un lait de première qualité, dans la continuité de 2014 et 2015.
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