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Reprise de l’abattoir et moyens de l’Afsca: le scandale Veviba perdure…

Les candidats intéressés par la reprise de l’entreprise avaient jusqu’au 21 mars pour se faire connaître. Ils sont environ 30 à avoir répondu à l’appel, dont la Fwa sous la forme d’une coopérative d’éleveurs qu’elle encadrerait. Pendant ce temps-là, en politique, le débat fait rage entre le ministre fédéral de l’Agriculture et l’opposition, pour savoir si les moyens de l’Afsca sont suffisants.

«Il y aura un avant et un après Veviba!»

En 2002, Nicolas Braibant et sa femme Nathalie, éleveurs à Corroy-le-Grand, ont fondé une boucherie à la ferme. Ouvert deux jours par semaine, le magasin connaît un véritable pic de fréquentation depuis les révélations de malversations chez Veviba.

Rencontre avec Frederik Backaert : le cyclisme et la ferme, deux métiers

« L’agriculture et courir à vélo, ce sont deux mondes totalement différents », nous dit Frederik Backaert. Il le sait bien. Ce fils de fermier est coureur professionnel depuis 2014 chez Wanty-Groupe Gobert. Il s’est illustré lors du Tour de France 2017, en faisant partie de nombreuses échappées, dont une très longue en solitaire. À 27 ans, « Backy » songe à l’avenir et pourrait reprendre la ferme familiale, « même si le cadre actuel n’est pas toujours en faveur du métier d’agriculteur ». Frederik Backaert et son père Christian vivent tous les deux les mêmes passions : l’agriculture et le vélo.

Lenteur de la réaction judiciaire pour Veviba: «on se renvoie la patate chaude»!

Comme chaque crise agroalimentaire, ce nouveau scandale sanitaire fait couler beaucoup d’encre. Et la question qui se pose le plus pour le moment est de savoir pourquoi une perquisition n’a eu lieu que le 28 février 2018, alors que des fraudes ont été signalées en septembre 2016. Et comme à chaque fois, chacun se refile la patate chaude en essayant de se montrer moins coupable que les autres. Pendant ce temps-là, ce sont les éleveurs – bien innocents, eux ! – qui payent, malgré quelques aides et soutiens bienvenus.

Le choix des lecteurs

Le Wallon préfère le Blanc Bleu Belge au bœuf argentin ou irlandais

Le Blanc Bleu Belge est largement la viande préférée des Wallons, devant la limousine, le bœuf irlandais, argentin, ou la blonde d’Aquitaine, ressort-il d’un test réalisé à l’aveugle en février – soit avant l’affaire Veviba – à la demande de l’Agence wallonne pour la Promotion d’une Agriculture de Qualité (APAQ-W).

L’animal est le meilleur conseiller en gestion de pâturage!

Pour bien gérer ses prairies, il faut être attentif au principal intéressé : le ruminant. Sa façon de manger, de laisser des refus ou non, son comportement lors de l’arrivée dans une nouvelle parcelle, etc. sont autant d’indicateurs de la bonne tenue, ou non, de vos terrains. Shane Bailey de PâtureSens explique cela en détail, et précise les réactions à adopter en fonction des situations.

Les producteurs «tordent le cou» aux idées reçues sur le lait et la viande

Le ministre wallon de l’Agriculture, René Collin, a présenté jeudi à Braine-le-Comte, une brochure élaborée en collaboration avec le Collège des Producteurs wallons. L’idée est de « tordre le cou » aux idées reçues et fausses vérités concernant le monde de l’agriculture, notamment les secteurs du lait et de la viande.

L’herbe, une culture comme les autres!

Base de bon nombre d’élevages wallons, le pâturage n’est pas toujours considéré comme une culture à part entière. Pourtant, au même titre que les céréales, les prairies peuvent être optimisées afin d’atteindre une rentabilité maximale. C’est dans cette optique que Sébastien Demoitié, éleveur à Ouffet, a invité Shane Bailey, consultant en pâturage chez PâtureSens (France).

Le travail des éleveurs bovins éclaboussé par Veviba

Six mois seulement après la crise des œufs contaminés au fipronil, un nouveau scandale frappe les éleveurs belges. Probablement par appât du gain, Veviba s’est livrée à de douteuses pratiques, faisant vaciller l’ensemble de la filière bovine. Heureusement, les éleveurs – totalement innocents ! – conservent la confiance des consommateurs. Les organisations syndicales, elles, montent au créneau et demandent davantage de transparence.