La publication de la note de conjoncture d’Agrifrance est devenue, au fil des ans, une référence en matière de marché du foncier rural. Elle dessine les contours des grandes tendances au niveau des prix dont la courbe est plutôt à la baisse. De quoi, peut-être, inciter les investisseurs belges à s’intéresser encore davantage aux forêts, vignobles et terres agricoles françaises. C’est ce qu’a indiqué il y a quelques jours à la presse Benoît Lécheneault, directeur de ce département de BNP Parisbas dédié aux transactions de propriétés viticoles, belles demeures de prestige, domaines agricoles et massifs forestiers.