En tant que premier maillon de la chaîne, l’agriculteur est confronté à la notion de biosécurité dans son quotidien. Parfois perçue comme un investissement peu rentable ou une contrainte par certains, elle est basée sur des pratiques simples et de bon sens pour d’autres. Deux éleveurs, l’un wallon, l’autre français, ont éclairé cette notion de leur expérience lors du récent symposium organisé par la Fesass à Bruxelles.