À l’approche de La Roche-en-Ardenne,
la brume n’était pas encore détachée des cimes. Alors que la profondeur des vallons détourne mon attention de la route, au sommet de l’ultime lacet, j’aperçois Jean-Paul Moureau, prêt avec les chevaux dans le van. Après une demi-heure de route, nous arrivons dans les parcelles où les grumes d’épicéas attendent le débusquage
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