Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLa Commission européenne entend organiser lors de la réunion des 22 et 23 mars du comité permanent sur les produits phytosanitaires un vote sur sa proposition de restreindre encore un peu plus l’usage des trois insecticides néonicotinoïdes (imidaclopride, clothianidine et thiaméthoxame) dont la nocivité pour les abeilles a été confirmée par un nouveau rapport de l’Autorité européenne de sécurité des aliments. Ladite institution souhaite limiter l’usage de ces molécules aux seules cultures sous serres permanentes. Mais une dérogation pourrait être accordée à la betterave sucrière, espèrent les professionnels.
L’Irbab propose un test simple pour contrôler la germination des graines non utilisées l’an dernier.
La valorisation des potentialités variétales est absolument impérative dans le contexte actuel de forte pression sur les produits phyto et de changement climatique avec un risque parasitaire accru.
Le projet de construction d’une nouvelle sucrerie par les betteraviers pour les betteraviers avance bon train. Il entre dans le concret, avec un montage décliné en 4 axes. Ce 3e acteur sucrier en Belgique attaquera sa première campagne en septembre 2021. Managing director du bureau de consultance Innovity, Jean-François Gosse dévoile en exclusivité pour Le Sillon Belge les nouvelles avancées majeures de ce projet baptisé Serres.
La mise en valeur des tolérances et résistances variétales est absolument impérative dans le contexte actuel de forte pression sur les produits de protection des plantes, de changement climatique avec un risque parasitaire accru. Et cela représente aussi un intérêt économique.
Sur la base des résultats d’essais menés en 2016 et 2017, treize variétés de betteraves sucrières ont été admises au catalogue national des variétés d’espèces de plantes agricoles.
La betterave est décidément une plante qui ne laisse de nous surprendre… Celui qui le dit sait de quoi il parle. Directeur de l’Institut betteravier, Jean-Pierre Vandergeten décrypte les éléments qui ont permis à la culture de battre des records de rendement et identifie en même temps les menaces qui paradoxalement pèsent sur son avenir.
L’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave ausculte chaque année des dizaines de variétés, sous différents angles. Voici les principaux enseignements de l’expérimentation menée en 2017, avec un regard sur les résultats des années antérieures… et une attention particulière sur le comportement vis-à-vis des maladies et ravageurs.
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