Une litière sur lin et du foin à volonté
Si le monde équestre évolue, Valérie et Bernardo n’ont pas hésité à prendre le train en marche, en réfléchissant à leur manière de fonctionner. Par exemple, les chevaux reçoivent du foin à volonté, et ils se sont équipés d’un purificateur qui traite ce fourrage à la vapeur afin d’en retirer les impuretés.
De plus, pour la litière, ils sont passés au lin pour sa capacité d’absorption ou encore pour son côté plus naturel par rapport aux copeaux.
Dans ce centre, on peut également acquérir des kits coproscopie. Ils permettent d’envoyer un échantillon de crottin pour analyse à l’université. L’objectif ? Opter pour une vermifugation raisonnée des équidés en sachant précisément quel traitement utiliser pour quel type de parasite.