Le Cepicop souffle ses 20 bougies

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Voir l'offre d'abonnementLes pluies intenses de la semaine dernière ont accéléré la fin de la floraison du colza d’hiver dans de nombreux champs. Il existe toutefois des différences variétales bien marquées.
Comme annoncé, la semaine écoulée a connu l’arrivée d’air polaire entraînant des températures plus fraîches que la normale, des giboulées, de fréquentes averses et du vent parfois violent. Avec les deux nuits de gel nocturne de ce début de semaine, l’heure n’est pas encore au printemps.
Les champs de colza d’hiver se colorent actuellement de jaune. La floraison des variétés précoces a démarré. Les variétés tardives n’ont pas encore commencé à fleurir, même si la taille des plantes est identique. Les irrégularités au sein des parcelles sont bien visibles.
La culture de colza d’hiver continue son développement automnal. La production de biomasse est variable selon les stades des plantes.
Les conditions estivales continuent en ce début d’automne, avec des températures largement supérieures aux normales de saison.
Les températures élevées et records pour la saison (réchauffement climatique) bénéficient au développement de la culture de colza d’hiver ainsi qu’à l’activité des insectes.
Après une semaine venteuse et pluvieuse, le retour de meilleures conditions météo est favorable au développement du colza d’hiver présentant toujours des stades variables. L’attention vis-à-vis des ravageurs se poursuit.
Nous présentons ci-après les normes de réception des céréales, oléagineux et protéagineux, livrés par les producteurs au négoce-collecteur, telles qu’elles ont été établies par le syndicat national du commerce des céréales et autres produits agricoles, Synagra, en commun accord avec les organisations agricoles.
Le colza poursuit sa floraison. Les conditions humides et le retour de meilleures températures sont favorables au développement des plantes et à la sortie des insectes pollinisateurs.
Le temps nuageux, pluvieux et venteux, avec des températures sous les normales de saison et un faible ensoleillement jusqu’à présent, a été peu favorable à l’activité des insectes ravageurs et pollinisateurs.
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