La Flandre interdit le transport routier d’animaux hors de l’UE en été

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementCroiser une Holstein avec du Wagyu : c’est l’idée innovante de Guillaume et Thibault Pierard. Ces deux frères ont ainsi donné naissance à une nouvelle race. Baptisée Bierwagyu, une combinaison entre le nom de la ferme et les célèbres bœufs japonais, ce savoureux mélange permet d’obtenir une viande de qualité, unique dans la région.
À l’initiative de la Hongrie, une douzaine de délégations (Autriche, Belgique, République tchèque, Croatie, France, Italie, Lettonie, Portugal, Roumanie, Slovaquie et Slovénie) a récemment appelé la Commission européenne à renforcer sa stratégie vaccinale.
Un arrêté royal relatif aux modalités de paiement des interventions liées à la campagne de vaccination contre la FCO et la MHE sera prochainement publié. Concrètement, deux phases sont prévues en juin et en septembre.
Verra-t-on bientôt de plus en plus de moutons pâturer les couverts d’intercultures dans les campagnes wallonnes ? En tout cas, cette pratique semble avoir le vent en poupe… Logique, puisqu’elle comporte de nombreux avantages, tant pour l’éleveur que pour le cultivateur. Un partenariat « gagnant-gagnant » à mettre en place en respectant plusieurs précautions, notamment sanitaires, pour qu’il tienne toutes ses promesses.
C’était une première en 2023, mais le phénomène s’est répété en 2024… Une nouvelle fois, le nombre de ferme bio et la superficie qui leur est dédiée ont reculé en Wallonie. Toutes les filières ne sont cependant pas logées à la même enseigne ; certaines affichant une belle progression. Et ce, d’autant que la situation ne résulte pas uniquement de déconversions…
La saga se poursuit au parlement européen. Avec plus de 3.000 amendements déposés, la réforme de la réglementation sur le transport des animaux vivants continue de diviser profondément l’hémicycle. Entre les défenseurs du bien-être animal, qui appellent à des règles plus strictes, et les représentants du monde agricole, inquiets de mesures qu’ils jugent inapplicables, le débat reste très polarisé. Lors de la dernière réunion conjointe des commissions de l’Agriculture et du Transport, la passe d’armes entre les deux co-rapporteurs a une nouvelle fois illustré la profondeur des désaccords.
C’est au sein de l’entreprise Lovenfosse que s’est tenue l’assemblée sectorielle porcine du Collège des producteurs. Ici, à Aubel, se trouve le plus grand abattoir de Wallonie pour cette filière, dont les chiffres sont plus qu’impressionnants. Le site possède ainsi une capacité d’abattage de 15.000 porcs par semaine, et les responsables estiment que 95 % des cochons wallons y sont traités. Ensuite, de la découpe à l’emballage, tout est réglé comme du papier à musique pour permettre aux consommateurs de déguster la meilleure viande possible. Visite des lieux.
Le 23 mai, l’Organisation mondiale de la santé animale a approuvé et publié l’auto-déclaration de la Belgique concernant le statut de pays indemne de l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) chez les volailles. Cette décision permettra à d’autres pays de lever les embargos commerciaux et de rétablir nos exportations de volailles et de produits dérivés. De plus, à partir de ce jeudi 29 mai, le confinement des volailles et des oiseaux ne sera plus obligatoire pour les détenteurs professionnels et hobbyistes.
Une vache peut-elle être une alliée du climat ? C’est la question qui a été posée lors de la projection du documentaire américain « Un monde sans vaches » le 21 mai dernier au parlement européen. Organisé par le groupe centriste Renew Europe et l’eurodéputé Benoît Cassart, l’événement a réuni un public nombreux, preuve de l’intérêt croissant pour les enjeux liés à l’élevage et à son avenir.
Valbiom organise, pour la seconde édition, une collecte de laine dans différentes régions du sud de notre pays. De juin à septembre, les éleveurs, hobbystes ou professionnels, peuvent donc venir y déposer le fruit de la tonde, et recevoir une compensation financière selon la qualité du produit. L’objectif ? Transformer cette laine 100 % wallonne pour en faire de l’isolant, des feutres maraîchers ou encore des couettes ou des matelas.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement