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À la Ferme du Faascht, on fait pousser des tomates, de l’énergie et du sens

Economie La route s’égare, piquetées à l’infinie de jaune, du minuscule et de l’imprévisible, les prairies. Fin de printemps, dans la justesse d’un souffle, tremblant dans son envol, lumineux dans son déclin. Des myriades de fleurs brûlantes de lumière. Comme une trappe dans le ciel, des chapelets de soleil, des effilochés de nuages dociles et ventrus. Il dit ce qui délivre, il dit ce qui tourmente. Clairière à droite, à quelques mètres de la frontière luxembourgeoise, la Ferme du Faascht. Mélody Kessler, Ludovic Peter et David Feller y ont réinventé la notion même d’exploitation agricole, en mêlant autonomie énergétique, valorisation des déchets, innovations agronomiques et sobriété hydrique.
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Le paillage en laine de mouton, à l’épreuve du terrain

Avec l’essor des matériaux biosourcés, un paillage d’un nouveau genre a récemment vu le jour en Belgique. En laine de mouton, il présente divers atouts que la Haute école Condorcet et le Carah ont évalués sur le terrain. Avec des résultats positifs.

Quand la laine de mouton se transforme en un feutre de paillage aux multiples atouts

Woolconcept, c’est une histoire de famille, mais aussi une diversification atypique, menée depuis le toit de la Belgique. C’est un projet dans lequel interviennent des agriculteurs, à la fois comme fournisseurs et clients de la société. Enfin, c’est la valorisation d’une laine de mouton 100 % belge, souvent délaissée, en plusieurs matériaux de construction, en paillage maraîcher ou encore en articles de literie.

Les maraîchers bio liégeois à l’honneur

Comme chaque année, maraîchers et acteurs de la transition alimentaire durable s’étaient donné rendez-vous, le 16 janvier dernier, à la « Journée des maraîchers bio », organisée à la Haute École de la Province de Liège à la Reid.

Un calendrier des cultures: de la théorie à la pratique

Il est grand temps de planifier les activités de production maraîchère afin de garantir autant que possible un approvisionnement correct pour la clientèle. Pour les maraîchers installés de longue date, l’organisation du travail s’est affinée d’année en année. Il reste à tenter de s’adapter aux contraintes météo… Ce n’est pas simple malgré l’expérience professionnelle. Nous venons de connaître plusieurs étés chauds très peu arrosés de précipitations. Au contraire, les quinze derniers mois ont battu ou égalés les records historiques de pluies.

Le choix des lecteurs

De la production au transport: comment mieux maîtriser ces coûts énergétiques?

La rentabilité économique des fermes maraîchères est l’un des piliers de leur durabilité. Une analyse comptable complète est requise pour identifier les principaux postes des frais et des revenus. Les charges directes comme les plants, la fertilisation et la protection sont aisément identifiables. En revanche, l’énergie est un poste plus difficile à estimer dans son ensemble. Nous devons nous y pencher avec une attention particulière sur base d’estimations récentes afin d’être prompts à réagir en cas d’évolutions substantielles des coûts.

Les facteurs à bien anticiper pour réussir son installation en maraîchage

Chaque année, des vocations émergent au sein de candidats issus du monde rural ou citadin pour s’installer en maraîchage. Parfois, il peut même s’agir d’une reconversion professionnelle. Mais quelles sont les difficultés lorsqu’on se lance dans ce secteur ? Quels sont les éléments à prendre en compte ? Du choix du terrain à l’organisation des tâches, en passant par la gestion financière et des machines, le futur maraîcher devra anticiper plusieurs facteurs pour être sûr de ne pas faire fausse route.

Main-d’œuvre et bonne organisation: des facteurs essentiels à la réussite de la ferme

Si dans un premier temps, au sein des fermes maraîchères, les propriétaires ont tendance à se focaliser sur les aspects techniques, commerciaux et environnementaux, les facteurs sociaux sont également primordiaux, avec notamment le bon emploi de la main-d’œuvre. En effet, si la position géographique du point de vente, la qualité des sols, la disponibilité en eau et en énergie sont importants, cette main-d’œuvre est le premier facteur de production. Et il est toujours possible d’améliorer l’organisation du travail, que l’on soit déjà bien implanté, ou novice à l’installation.

Se distinguer grâce aux salades non pommées et à leurs nombreuses variétés

Pour les fermes maraîchères diversifiées, la vente directe ou en circuit court offre des opportunités, mais aussi des faiblesses. Il s’agit notamment de proposer des légumes moins présents de manière fréquente dans les points de ventes en circuits longs. Cela peut notamment être le cas des salades non pommées qui permettront de se distinguer des assortiments plus classiques.