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Maraîchage

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La gestion de l’eau: un enjeu primordial pour les cultures maraîchères

Maraîchage L’approvisionnement en eau constitue l’un des points techniques les plus importants pour les cultures maraîchères, qui ont en besoin pour assurer leur croissance rapide. Les plantes repiquées possèdent un enracinement plus superficiel, incapable d’explorer les réserves hydriques profondes du profil de sol. Et sous abri, les cultures dépendent entièrement des apports par irrigation.
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Comment intervenir face à ce souci récurrent qu’est la salinité ?

Un excès de sel dans les parcelles maraîchères est loin d’être sans conséquence pour les cultures en place. Le phénomène est d’autant plus présent dans les serres, où seule l’irrigation permet de compenser l’exportation d’eau par les végétaux. Avant l’implantation des nouvelles cultures de printemps, des mesures correctrices doivent être envisagées, si nécessaire.

Asperges : une ode à nos terroirs wallons

Le ciel y parle bas, son nom ressemble à une caresse de vent sur le visage. Paliseul, ceint de cathédrales vertes dressées pour les oiseaux et les silences. À la fois un lieu et un instant prolongé où les mouvements sont communiqués à l’immense par presque rien. C’est en bordure de la commune cernée de hameaux que Florent Gailly, véritable artisan du terroir, cultive son bonheur. Des asperges fuselées aux pointes ivoire et jade. C’est lui qui a donné le coup d’envoi, le 15 avril dernier, de la saison de ce délicieux légume de printemps. Un événement qui bénéficie du soutien de l’Apaq-w et son réseau « Table de Terroir ».

Adapter la fertilisation aux spécificités de la culture maraîchère

Les fermiers en diversification vers le maraîchage sont amenés à gérer la fertilisation de leurs parcelles en tenant compte de la mixité des productions. Ce seront les besoins des espèces cultivées qui feront la différence avec les grandes cultures. Par ailleurs, les objectifs et les moyens mis en œuvre diffèrent aussi de ceux destinés aux jardins potagers dont il fut question dans le précédent Sillon Belge.

«Qui détient les semences détient la vie… et l’économie»

Printemps, sa timidité aimantée, ce ciel gorgé de bleus, ce jour où la vie nous rend distrait, il mêle du rire et de la gravité au cœur nu de la vie. À Assesse, par ce temps tentant désaxé de lumières, c’est chez Semailles que plusieurs acteurs ont lancé, le 20 mars dernier, « Des semences aux légumes », un collectif composé de semenciers, multiplicateurs et maraîchers qui produisent des légumes issus de la biodiversité cultivée.

Le choix des lecteurs

Proposer une diversité de légumes plus tôt grâce au chou-fleur de printemps

La culture du chou-fleur destiné au marché de gros et à l’industrie de la surgélation occupe des surfaces importantes dans les fermes spécialisées. Le chou-fleur hâtif trouve également sa place dans les exploitations maraîchères diversifiées, avec une commercialisation possible dès le mois de juin. Et pour ce légume, l’assortiment variétal proposé par les semenciers est en constante évolution.

Le chicon: un légume avec un choix variétal large et de grande qualité

Le choix variétal en production de racines de chicons évolue considérablement. En effet, plusieurs centres de recherche appliquée collaborent pour assurer une veille de ces progrès et nouveautés pour ce légume dont demande pour la vente en circuit court s’étend essentiellement d’octobre à avril.

La production de la courgette précoce sous tunnel maraîcher

La culture de la courgette sous tunnel maraîcher permet de répondre à une demande des consommateurs. Ce légume produit localement, planté en mars et récolté à partir d’avril, pourra être disponible tant en vente directe et qu’en circuit long.

Poireaux: gérer les écarts d’épluchage pour limiter les dégâts de la mouche mineuse des Alliacées

La question est d’actualité pour les récoltes de poireaux d’hiver. Depuis douze ans, la mouche mineuse des Alliacées (Napomyza gymnostoma) impose aux producteurs des adaptations constantes. Les deux périodes de vol des adultes varient d’une année à l’autre, bien que leurs intensités soient plus marquées d’avril à mi-juin et entre fin août-début septembre jusqu’en novembre. Les pupes, elles, résistent aux hivers modérés. Pour limiter les dégâts, plusieurs techniques ont été éprouvées dans la pratique, et il ressort qu’il est essentiel de laisser le moins de résidus de récolte possible sur les parcelles.