La Meunerie et les Moulins du Val-Dieu: où le grain se transforme, sous le regard passionné des hommes

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Je m'abonneS’il est assez simple de faire de l’alcool à partir de céréales ou pommes de terre, il est plutôt compliqué d’en vendre de manière légale tant les règles et réglementations produites à ce sujet par l’administration sont enchevêtrées. On tente de vous éclairer sur les différentes obligations à respecter.
La limite légale de consommation d’alcool au volant est de 0,22 mg/l d’air alvéolaire expiré (c’est-à-dire constatée par un test d’haleine). Cela correspond à 0,5 g/litre de sang (constaté par prise de sang) ou 0,5 pour mille. Attention que pour les conducteurs professionnels, le taux maximal autorisé est de 0,2 g/l de sang (ou 0,09 mg/l d’air).
Au siècle passé, la Wallonie comptait à elle seule plus de 1 200 brasseries. Après la guerre 40-45, ce nombre n’a fait que décroître pour arriver à 23 brasseries dans les années 80. Depuis quelques années, le monde de la brasserie connaît un nouvel essor, avec un dépassement du nombre symbolique de 100 brasseries.
Il y a plusieurs siècles déjà, Jules César aurait pu dire ceci : « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus… innovateurs ! »
Au bout, la route essoufflée vient se poser au pied des champs. À côté, le verger confie sa voix à la vérité d’un silence, préparant les miracles des futurs bourgeonnements quand les bras tendus des pommiers dévoilent leurs premières offrandes. Autant de fleurs et toutes ces lumières que l’on attend pour s’étourdir un peu du parfum du printemps.
Reconnaissable à l’éléphant rose ornant son étiquette, la bière Delirium fait voyager de l’orge brassicole et du houblon belges à travers le monde entier. La Brasserie Huyghe, qui a fait de la durabilité sa philosophie, a pour point d’honneur de s’approvisionner localement en matières premières. Elle doit néanmoins jongler avec les disponibilités, actuellement insuffisantes, et invite les agriculteurs belges à cultiver de l’orge brassicole.
Parfois s’intéresser aux bières et aux spiritueux nous mène à la découverte d’une nouvelle plante et sa culture. C’est ainsi, qu’au travers d’un gin et d’une bière blanche, j’ai découvert le safran, et plus particulièrement celui d’Anthony Minet et Pauline Ernoux qui croît depuis plus de 10 ans sur un terrain familial à Thorembais-Saint-Trond. Anthony nous explique son histoire, celle d’un produit familial de qualité, né de l’envie de tester et d’innover.
Des chaudières à la groseille, il y a un improbable fossé que Gilles Léonard a enjambé avec bonheur. Cet amoureux de la terre s’est un jour replongé dans les joies de son enfance. Celles qui contiennent peu de mots et sont pleines de couleurs, dont on choisirait le rouge, synonyme de tendres baies acidulées comme des bonbons, qui se nichent dans la douceur du vert, et se balancent entre ombre et lumière…
Trois ceintures alimentaires wallonnes bénéficieront bientôt d’un renfort financier. L’objectif ? Accroître leur visibilité et booster leur développement tout au long des années 2023 et 2024.
Face à l’explosion de leurs coûts de production, une centaine de fruiticulteurs wallons et flamands se sont rendus ce 6 février au siège de Comeos, la Fédération belge du commerce et des services, afin de faire entendre leur voix. Ceux-ci dénonçaient, notamment, la hausse de leurs coûts de production et ce, alors que « les marges dégagées par les grandes surfaces permettraient de rémunérer équitablement les producteurs sans que les consommateurs ne soient obligés de payer plus », affirment-ils.