Contrôle technique: 99% des pulvérisateurs acceptés, en 2024, en Wallonie











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Les représentants des betteraviers mettent en cause les politiques européennes – y compris les accords de libre-échange – dont l’impact se fait fortement ressentir par la filière « sucre » belge.

De quelle manière accompagner les agriculteurs face au changement climatique ? Et comment transiter vers plus de résilience sans pour autant perdre en rentabilité ? C’est à ces questions que répond Agriclimate. D’une durée de quatre ans, ce projet européen permettra à la Wallonie, à la Flandre et aux régions Grand Est et Hauts-de-France d’avancer vers cet objectif commun, en partageant leurs connaissances.

Selon des estimations provisoires communiquées par Statbel, l’Office belge de statistique, la production de pratiquement toutes les céréales a augmenté cette année. Les pommes de terre et betteraves suivent également une courbe favorable.

Pour s’inscrire dans une trajectoire de réduction des produits phyto, plusieurs pistes existent. Elles font intervenir de nombreux acteurs, comme les sélectionneurs, les constructeurs de matériel ou encore les fabricants de produits de biocontrôle.

Quelque 138 ONG et organisations agricoles (Pan Europe, Greenpeace, les Amis de la Terre, Ifoam) se disent préoccupées, dans une lettre adressée à la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen, par les futures propositions de simplification de la réglementation en matière de sécurité des aliments, particulièrement celle sur les pesticides.







Réduire le recours aux pesticides n’est pas une décision propre à la Wallonie. La France s’est aussi inscrite dans cette démarche, à travers le projet Parsada. Celui-ci a été initié pour anticiper les retraits de substances actives et accélérer la recherche et le déploiement d’alternatives afin de réduire la dépendance aux produits de synthèse.

Rassembler l’écosystème agricole wallon pour réfléchir, filière par filière, comment réduire le recours aux produits de protection des plantes et favoriser les alternatives. Telle est l’ambition des États généraux de la protection des cultures, annoncés au printemps dernier par Anne-Catherine Dalcq. Aujourd’hui lancée, la démarche se veut pragmatique. Elle entend, en effet, préserver la rentabilité des fermes et offrir aux agriculteurs un vade-mecum de techniques concrètes à mobiliser au quotidien.

Les relevés réalisés sur 22 parcelles de froment (stade 1 à 3 feuilles – BBCH 11-13) et d’escourgeon (stade tallage – BBCH 25) montrent une présence hétérogène de pucerons selon les parcelles.

L’emploi d’un pulvérisateur est parfois nécessaire en maraîchage. Il permet l’application des produits de protection des plantes, des engrais foliaires, des stimulants ou des régulateurs de croissance.

L’analyse de sol est un outil essentiel pour la rentabilité, l’environnement et la gestion durable des ressources. Afin de garantir la qualité et la standardisation des résultats analytiques, les pouvoirs publics wallons ont soutenu la création d’un réseau d’harmonisation des laboratoires d’analyse, appelé RequaSud.
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