Produits phyto: le registre électronique est reporté à 2027











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Réduire le recours aux pesticides n’est pas une décision propre à la Wallonie. La France s’est aussi inscrite dans cette démarche, à travers le projet Parsada. Celui-ci a été initié pour anticiper les retraits de substances actives et accélérer la recherche et le déploiement d’alternatives afin de réduire la dépendance aux produits de synthèse.

Rassembler l’écosystème agricole wallon pour réfléchir, filière par filière, comment réduire le recours aux produits de protection des plantes et favoriser les alternatives. Telle est l’ambition des États généraux de la protection des cultures, annoncés au printemps dernier par Anne-Catherine Dalcq. Aujourd’hui lancée, la démarche se veut pragmatique. Elle entend, en effet, préserver la rentabilité des fermes et offrir aux agriculteurs un vade-mecum de techniques concrètes à mobiliser au quotidien.

Les relevés réalisés sur 22 parcelles de froment (stade 1 à 3 feuilles – BBCH 11-13) et d’escourgeon (stade tallage – BBCH 25) montrent une présence hétérogène de pucerons selon les parcelles.

L’emploi d’un pulvérisateur est parfois nécessaire en maraîchage. Il permet l’application des produits de protection des plantes, des engrais foliaires, des stimulants ou des régulateurs de croissance.

L’analyse de sol est un outil essentiel pour la rentabilité, l’environnement et la gestion durable des ressources. Afin de garantir la qualité et la standardisation des résultats analytiques, les pouvoirs publics wallons ont soutenu la création d’un réseau d’harmonisation des laboratoires d’analyse, appelé RequaSud.







Une nouvelle fois, la météo influence les statistiques relatives aux grandes cultures, tandis que les cheptels porcins et bovins poursuivent leur chemin en pente descendante…

Lors des observations réalisées ce lundi 3 novembre sur 24 parcelles, aucune n’a atteint le seuil d’intervention (10 % de plantes colonisées par au moins un puceron). Dans 15 parcelles, aucun puceron n’a été observé.

Les conditions pluvieuses et venteuses explique la faible activité des insectes en colza d’hiver. Un redoux et des conditions plus sèches sont annoncées, la surveillance des vols d’insectes devra donc se poursuivre. Le risque lié aux insectes d’automne diminue mais restons attentif car le changement climatique peut nous réserver des surprises.

Dans un article paru dans le média « The Conversation » du 5 octobre, des scientifiques de diverses institutions françaises ont présenté deux mécanismes pour aider les agriculteurs à se passer des néonicotinoïdes.

L’érosion des parcelles agricoles est un phénomène que tout agriculteur souhaite éviter et ce, pour diverses raisons. Pour y parvenir, plusieurs techniques réduisant de manière plus ou moins importante le travail du sol peuvent être adoptées. De même, il convient de minimiser les périodes durant lesquelles le sol se retrouve nu, totalement exposé aux éléments.
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