Accueil Protéagineux

Protéagineux

Protéagineux

L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

Abonnez-vous

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles

Voir l'offre d'abonnement

Colza, pois, féverole et autres espèces moins connues: coup d’œil sur les essais menés par le Centre pilote Cepicop

Le Centre pilote céréales, oléagineux et protéagineux mène chaque année une expérimentation de terrain. En raison de la Covid-19, impossible d’organiser des visites aux champs pour les agriculteurs. D’où l’intérêt de ce tour d’horizon dressé par l’équipe basée à Gembloux Agro Bio Tech. En commençant cette semaine par les protéagineux et oléagineux.

Le pois et la féverole, deux candidats sérieux au développement du plan wallon des protéines végétales

Les cultures de pois protéagineux et féverole peinent à séduire dans nos campagnes malgré une demande soutenue, dopée par l’industrie alimentaire. L’instabilité des rendements, placés sous la forte influence du climat, explique en partie le désintérêt des cultivateurs. Par conséquent, l’offre interne demeure largement insuffisante que pour satisfaire les acheteurs, obligés de se tourner vers l’importation. Une situation que doit contrer le « Plan de développement des protéines végétales en Wallonie ».

De nouveaux moyens de lutte contre la bruche pour booster la culture de la féverole

Malgré ses atouts, la féverole reste peu cultivée en Wallonie. Un constat qui s’explique par sa forte sensibilité aux aléas climatiques et biotiques, parmi lesquels figurent les attaques de bruches de la fève. La recherche de nouveaux moyens de lutte biologique contre ce ravageur pourrait favoriser le retour cette légumineuse dans nos campagnes.

Déclin des oléagineux au profit des céréales et légumineuses

Entre 2019 et 2030, l’agriculture européenne aura recours à une rotation accrue des cultures avec une augmentation des superficies de céréales et légumineuses. Par contre, les oléagineux suivront une tendance à la baisse excepté pour le soja, explique la Commission européenne dans son dernier rapport sur les perspectives de long terme publié le 11 décembre.

Le choix des lecteurs

Alternative au soja: la relance française du lupin, appuyée par recherche russe

Des chercheurs ont récemment participé aux rencontres franco-russes sur le lupin, qui se sont tenues dans une exploitation agricole du Loir-et-Cher et au siège de la société Valorex près de Rennes. Objectif : appuyer la volonté d’entreprises françaises de développer le lupin dans une préoccupation de diversification des cultures, d’approvisionnement en protéines pour les élevages et de création de valeur dans des sols pauvres.