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L’épeautre : une richesse locale transmise à travers les siècles

Céréales Si de nos jours, l’épeautre nous apparaît comme une céréale mineure que l’on cultive sur les terres plus difficiles, là où le froment ne réussit pas bien, il n’en a pas toujours été ainsi. Penchons-nous quelque instant sur l’origine et l’évolution de l’épeautre à travers le temps et l’Europe. Cultivée depuis des siècles, elle a été sélectionnée et héritée de peuple en peuple. Elle constitue un patrimoine local à perpétuer. Aujourd’hui, elle demeure une céréale aux multiples atouts.
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Identifier les maladies du froment pour mieux les maîtriser

Les froments sont susceptibles d’être attaqués par des maladies cryptogamiques au niveau des racines (piétin-échaudage), des tiges (piétin-verse), des feuilles (rouilles, septoriose, oïdium) et des épis (septoriose, fusarioses). Elles peuvent altérer le rendement, soit de manière directe par la destruction des organes, soit de manière indirecte comme le piétin-verse qui affaiblit les tiges et favorise la verse. Certaines maladies peuvent également déprécier la qualité sanitaire de la récolte, comme les fusarioses qui produisent des mycotoxines pouvant se retrouver sur les grains.

Le choix des lecteurs

Les stratégies de protection à adapter selon la sensibilité variétale

La septoriose et la rouille brune sont les maladies les plus régulièrement dommageables. De façon moins systématique, la rouille jaune peut occasionner d’importants dégâts par extension de foyers comme observé régulièrement depuis 2014. Ces trois maladies sont prises en compte dans la création des nouvelles variétés de froment dont certaines s’avèrent résistantes.

Le blé dur débute sa phase de montaison

L’avancée des blés durs permet l’application d’une deuxième fraction d’azote mais également d’un régulateur de croissance. En ce qui concerne les maladies, les conditions sèches et ensoleillées ne favorisent pas leur développement.

Protection fongicide des escourgeons : les recommandations du Livre Blanc

Les escourgeons se situent désormais au stade redressement/ épi 1 cm (BBCH30) et il est doucement temps d’observer vos parcelles. Une intervention au bon moment est la clé d’une lutte raisonnée ! Deux stades phares (BBCH) sont à surveiller en escourgeon : le stade premier nœud (31) et le stade dernière feuille (39). À ces moments stratégiques, une observation attentive des parcelles permet d’identifier les maladies présentes et d’évaluer la nécessité d’une intervention ou non.