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Le déclin de la production belge d’aliments pour animaux s’est stabilisé en 2023

Economie La baisse de la production belge d’aliments pour animaux en 2023 a été limitée à -3%, là où elle enregistrait encore une chute de 6% l’année précédente. Le secteur belge de l’alimentation animale a également enregistré une baisse limitée de son chiffre d’affaires, qui s’élève à 6,5 milliards d’euros, ce qui le place en 7e position au sein de l’Union européenne. La part du secteur de l’alimentation animale par rapport à l’ensemble du secteur alimentaire est restée relativement stable à 9%.
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La seule usine européenne de lysine en danger:«Nous risquons d’être dépendants de la Chine»

Il n’y a pas que les agriculteurs qui se retrouvent face à la concurrence des produits importés, ne respectant pas toujours les normes de l’Union européenne. Du côté des entreprises, aussi, elles doivent tirer leur épingle du jeu afin de rester compétitives face aux industriels, notamment asiatiques. C’est le cas de Metex en France, le seul producteur européen de lysine. En redressement judiciaire, principalement en raison de la concurrence chinoise et de la hausse des coûts de production, la société craint pour son avenir.

FCO : pacage et mouvements avec les pays limitrophes

Depuis octobre 2023, la Belgique n’est plus indemne du sérotype 3 du virus de la fièvre catarrhale avec, pour conséquence, des restrictions de mouvement vers certains États membres de l’UE. Dans ce contexte sanitaire, plusieurs mesures sont prises dans les pays limitrophes concernant les mouvements d’animaux et le pacage.

Ovins et caprins : abattage et valorisation de la production locale

Les filières ovine et caprine se sont favorablement développées en lien avec l’accroissement du nombre d’éleveurs et d’animaux de production. Mais pour arriver jusqu’à l’assiette du consommateur, ces derniers doivent passer par la case de l’abattage. Qu’en est-il exactement de ce secteur spécifique ?

«Rendez-vous en terre agricole» durant ce mois de mai

35 activités seront organisées tout au long du mois de mai, à travers le Hainaut, dans le cadre des « Rendez-vous en terre agricole ». Une 4e édition qui offre l’opportunité de rencontrer des agriculteurs passionnés par leur métier et de découvrir leur savoir-faire.

Le choix des lecteurs

La luzerne, un fourrage qualitatif à envisager dans la rotation

Riche en protéines, résistante aux conditions sèches, très bien valorisée par le cheptel… La luzerne présente de nombreux atouts. Pour en tirer le plus grand profit, il convient néanmoins de l’implanter sur des parcelles adaptées et de la faucher au moment opportun.

Viande bovine: stabilité des prix et hausse de la demande

En Europe, la proximité entre le Ramadan et Pâques a permis de soutenir la demande de viande. Même si les abattages ont diminué, les prix sont ainsi restés stables, et ont même augmenté dans certains pays, pour les différentes catégories de bovins. Pour les vaches réformées, là aussi le marché se maintient, alors qu’on assiste à une diminution du cheptel dans l’Union et à une faiblesse de l’offre.

Plus de confinement obligatoire pour les volailles et oiseaux dès le 6 avril

À partir du samedi 6 avril, le confinement des volailles et des oiseaux ne sera plus obligatoire pour les détenteurs professionnels et les détenteurs enregistrés d’animaux à titre de hobby. Une décision prise suite à l’évolution favorable de la grippe aviaire ces derniers mois. Ainsi, en 2024, aucune infection n’a été détectée ni dans les élevages commerciaux, ni chez les détenteurs particuliers. La circulation du virus chez les oiseaux sauvages a également diminué de manière significative.

L’IBR: cette épée de Damoclès qui pèse au-dessus des élevages wallons

Le mois de mars rimait avec les « Rendez-vous de l’Arsia ». L’opportunité pour cette association d’aller à la rencontre des agriculteurs pour parler des « Actualités sanitaires et de l’accompagnement pour un cheptel au top ! ». Au programme ? Chiffres du secteur, portail Cerise, sans oublier les maladies émergentes. Mais une question brûlait les lèvres de tous les éleveurs : qu’en est-il de la problématique IBR ? Une maladie qui inquiète, questionne, et fâche aussi ceux dont le troupeau a été réinfecté.