Un manque de main-d’œuvre qualifiée
L’industrie alimentaire wallonne est toujours freinée dans son développement par un manque de main-d’œuvre qualifiée.
Lors de l’introduction du projet Walmeat2U en 2015, le secteur de la viande était déjà confronté à une pénurie structurelle de main-d’œuvre qui engendrait des effets négatifs tels que l’abus potentiel associé à la sous-traitance : la faible position concurrentielle du secteur de la viande tant en Belgique qu’à l’étranger.
« La situation ne s’est guère améliorée », selon...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique