Se protéger de la concurrence mondiale
Du côté des défis économiques, la question est de savoir si une filière basée sur l’exportation est durable. « Nous disposons des connaissances, des compétences, des centres de recherche… Pourquoi abandonner tout cela et laisser partir notre savoir-faire de l’autre côté du monde ? », interpelle Emanuel Van den Broeke. Et d’ajouter : « Pourquoi cultiver des pommes de terre dans les régions où les rendements atteignent 15 t/ha alors que l’on réalise jusqu’à 45 t/ha ? »...
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