Accueil

Dix recommandations

Temps de lecture : 2 min

– Commencez à rassembler vos données suffisamment tôt.

– Augmentez la surface imposable avec la « surface fictive lait » à partir des litres de lait produits. Cette superficie compte également pour la déduction des salaires et des travaux agricoles.

– Vérifiez si, en tant qu’éleveur de porcs, vous avez droit à la réduction de la surface agricole.

– Vous devez déclarer le montant des contrats de cultures et non la superficie agricole des parcelles concernées.

– Les primes pour l’agriculture biologique peuvent être déduites du bénéfice semi-brut et être déclarées séparément dans le code 1605/2605 (taux de 16,5 %). Les éco-régimes sont également déductibles du bénéfice semi-brut mais doivent être déclarés séparément au taux de 12,5 % (code 1607/2607).

– Les revenus provenant des droits au paiement (paiement de base, verdissement, prime aux jeunes agriculteurs, aide au revenu redistributif…) et de l’élevage de vaches allaitantes/de bovins spécialisés sont imposables au taux de 12,5 % et sont donc inclus dans le code 1607/2607.

– Les aides (subventions en capital ou intérêts) reçues en 2024 ne doivent pas être déclarées. Dans les frais déductibles, tenez compte des intérêts bruts (intérêt net + subvention-intérêt).

– Pour les porcs, vous pouvez déduire cette année les pertes dues à la mortalité pour 2022, 2023 et 2024. Si des animaux étaient gravement malades à cause du virus de la fièvre catarrhale ovine, une déduction pour perte peut être prise en compte, à condition de présenter une attestation du vétérinaire.

– Indiquez dans votre déclaration d’impôts les dividendes reçus d’actions. Vous pouvez, en effet, récupérer le précompte mobilier retenu sur un montant maximal de 833 euros.

– Déposez votre déclaration fiscale dans les délais, c’est-à-dire au plus tard le 15 janvier 2026.

A lire aussi en

Voir plus d'articles