En faveur de la biodiversité, selon leurs opposants
Pour sa part, Carlo Di Antonio, actuel ministre wallon de l’Environnement et ancien ministre wallon de l’Agriculture, juge cette décision nécessaire. Bien qu’il dise « comprendre que cela pose problème aux betteraviers », il estime que « la perte de biodiversité coûterait bien plus cher au secteur agricole à long terme que les pertes dues au retrait des néonicotinoïdes à court terme ». « L’agriculture a le devoir de protéger l’environnement, il en va de la pérennité du secteur », ajoute-t-il. Le ministre se dit toutefois prêt à se mettre autour de la table...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique