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Alimentation et génétique «maison»

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À la Cense du Mayeur, 240 animaux sont élevés, dont 110 vaches en lactation. La ferme s’étend sur une centaine d’hectares composée pour moitié de prairies permanentes et temporaires. L’autre moitié est principalement dédiée à la production d’aliments pour le bétail. Avec le moins d’intrants possible, Cindy et Christophe y cultivent de la luzerne, de l’épeautre, du seigle, des betteraves fourragères… et testeront, l’année prochaine, le sainfoin. Ponctuellement, des céréales destinées à la vente sont également implantées, dans un souci de rotation des cultures. « La majorité des aliments sont produits à la ferme. Cela se ressent dans la qualité de nos produits transformés mais aussi au niveau des finances », explique Cindy.

Côté génétique, le couple croise de plus en plus ses Holstein avec d’autres races. « Mes parents s’intéressaient beaucoup à la génétique. Ils nous ont laissé un troupeau d’une grande qualité. Maintenant, nous travaillons sur la robustesse et l’aplomb de nos animaux, tout en conservant cette bonne génétique. Croiser avec d’autres races nous permet d’y arriver », poursuit-elle.

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