Robotiser l’alimentation, un gain certain
« Avant de robotiser l’alimentation, nous avions un système très basique. Je déroulais une boule, j’ajoutais du grain… La même quantité pour tout le monde. Le problème avec mes boules ? Elles sont trop riches en sucre au printemps, un peu trop sèches en milieu de saison et trop humide en arrière-saison. Avec le robot, je peux mélanger trois à quatre types de fourrage et rajouter les autres ingrédients comme le maïs, le foin… La ration est homogène et équilibrée pour toutes les chèvres. »
Que ce soit pour les chevrettes, les lactations...
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