Dans votre lettre, vous soulignez surtout votre souhait de protéger le conjoint survivant, au cas où la relation avec l’un de vos deux enfants ne serait plus optimale. Afin de juger s’il est nécessaire de faire quelque chose, il faut d’abord examiner ce qui va se passer dans le cas où vous ne faites rien.
En cas de décès d’un des époux et en présence d’enfants, la part recueillie par le conjoint survivant porte généralement sur l’usufruit de toute la succession. Les enfants héritent seulement de la nu-propriété. Chaque enfant...
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