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« Il faut maintenir l’agriculture

familiale à taille humaine ! »

Le coût du foncier, auquel l’accès se complexifie, ne cesse de croître tandis que l’âge moyen des agriculteurs questionne la transmission de leur activité à la nouvelle génération. Où en est-on actuellement ? L’agence du foncier agricole wallon a fait le point, le 23 octobre dernier, sur les prix, tendances et mouvements du marché des terres tandis que la ministre régionale de l’Agriculture a insisté sur sa priorité : les rendre plus accessibles aux jeunes.

C’est bien sur la notion de passage de témoin que se focalise l’attention, si bien que lorsque l’on évoque les trois piliers du développement durable en agriculture (économique, social et environnemental), il conviendrait désormais d’y ajouter celui de la transmission.

Refonte du rapport de l’observatoire du foncier agricole (Ofa)

L’accès à la terre, son prix, sont presque devenus un vieux serpent de mer dans l’actualité du secteur. Cela fait une dizaine d’années que la région wallonne a décidé de prendre le problème à bras...

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A Rumillies, l’homme qui murmurait à l’oreille des peupliers

Filière bois Dans le Tournaisis, Tanguy Duphénieux réinvente un geste agricole aussi ancien que visionnaire : marier l’arbre et la culture. Héritier d’une lignée de populiculteurs, l’agriculteur incarne une agroforesterie wallonne exigeante, enracinée dans la tradition mais tournée vers l’avenir. Loin d’être un simple ornement du paysage, le peuplier devient ici un auxiliaire du vivant, un compagnon du sol et un symbole d’équilibre retrouvé entre production et régénération. Dans le bruissement de ses feuillages se dessine une alliance de raison et de poésie, où l’arbre n’est plus en marge du champ, mais en est le cœur battant.
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