À Grammont, Lynn De Bruyne est une des seules agricultrices à encore produire du maton traditionnel. « C’est un travail intensif et chronophage, mais ces pâtisseries restent populaires », explique-t-elle. Pour preuve, elle en produit environ 500 à 600 kg par semaine, principalement écoulés auprès des boulangers, mais aussi des particuliers.