10 recommandations

– Rassemblez à temps l’ensemble des données.

– Augmentez la surface imposable avec la « surface fictive lait » à partir des litres de lait produits.

– Vérifiez si, en tant qu’éleveur de porcs, vous avez droit à la réduction de la surface agricole.

– Vous devez déclarer le montant des contrats de cultures et non la superficie agricole des parcelles concernées.

– Les primes pour l’agriculture biologique peuvent être retirées du bénéfice semi-brut et être déclarées séparément dans le code1605/2605 (taux de 16,5 %). Les éco-régimes sont également déductibles du bénéfice semi-brut mais doivent être déclarés séparément au taux de 12,5 % (code 1607/2607).

– Les recettes provenant des droits à paiement (paiement de base, verdissement, prime aux jeunes agriculteurs, aide au revenu de base durable, aide au revenu redistributif, etc.) et de l’élevage de vaches allaitantes/de bovins spécialisés sont imposables au taux de 12,5 % et sont donc incluses dans le code 1607/2607.

– Les aides (subventions en capital ou intérêts) reçues en 2023 ne doivent pas être déclarées. Dans les frais déductibles, tenez compte des intérêts bruts (intérêt net + subvention-intérêt).

– Pour les porcs, vous pouvez déduire cette année les pertes de mortalité pour 2021, 2022 et 2023. Pour les pommes de terre non récoltées ou endommagées au stockage, la déduction est possible à condition de présenter des preuves documentaires suffisantes. Cette perte peut être répartie sur deux années.

– Indiquez dans votre déclaration d’impôts les dividendes reçus d’actions. En effet, sur un montant allant jusqu’à 800 euros, vous pouvez récupérer le précompte mobilier retenu.

– Déposez votre déclaration fiscale dans les délais, c’est-à-dire au plus tard le 15 janvier 2025.