Les pourritures liées aux maladies racinaires peuvent engendrer des pertes de rendement importantes et, dans certains cas, des problèmes de conservation. L’observation des tas de betteraves est un très bon moyen de repérer les éventuels problèmes de maladies racinaires parfois invisibles en cours de culture.
L’Institut betteranier rappelle que les moyens de lutte contre les pourritures racinaires sont quasi inexistants en cours de culture! D’où la nécessité d’dentifier maintenant les maladies racinaires. Objectif: limiter leur développement par des mesures prophylactiques pendant la rotation, par un choix variétal adapté ou encore par un arrachage précoce limitant au maximum les blessures racinaires ou une conservation courte et isolée des tas.
La liste est longue
Si le rhizoctone brun est la maladie racinaire la plus fréquente en Belgique, d’autres maladies sont aussi observées comme le rhizoctone violet, l’Aphanomyces, la carence en bore, le nématode du collet (Ditylenchus dipsaci), la rhizomanie, …
