« Il est parfois difficile de mobiliser la profession lorsque nous organisons des actions », déplore-t-il. « Mais de mon côté, je n’aurai aucun remords : je me suis toujours battu pour ce en quoi je crois. » Plaider la cause agricole, c’est une casquette supplémentaire qu’Yvon endosse avec passion.
S’il reconnaît que tout le monde n’a pas la fibre syndicaliste, l’éleveur estime qu’il est du devoir des agriculteurs de communiquer vers le public et de faire connaître leur métier. « C’est déjà une forme de syndicalisme », affirme-t-il, lui qui estime aussi que les citoyens doivent s’impliquer activement dans la société pour que celle-ci fonctionne correctement.
