Ah mon grand Saint-Nicolas, voilà bien longtemps que je ne t’ai écrit de lettre. Mais, peut-être ne m’as-tu pas oublié. J’étais une enfant sage et pas trop exigeante et tu m’as souvent comblée. Nos parents savaient par quelques détours nous faire comprendre qu’il en fallait pour tout le monde.
Aujourd’hui, mon cher grand Saint, je t’écris, je ne demanderai rien. Je t’apporte mon soutien. J’entends le chant de nos petits enfants et, c’est merveilleux. Certains le jugeront ringard et complètement déphasé. Le « suc » du petit panier, peut-être, mais c’est...
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