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Une expérience magique

sur les traces de Pinocchio

« Il était une fois… – Un Roi ! s’écrieront aussitôt les petits lecteurs. Non, les enfants, vous vous trompez. Il était une fois un morceau de bois. »

Temps de lecture : 2 min

Ainsi commence l’histoire de Pinocchio tout comme celle du Labyrinthe, il y a 25 ans. À Barvaux-sur-Ourthe, il est en effet un endroit où un pays éphémère se lève avec les premiers beaux jours et ce, depuis 1997.

C’est dans cet univers magique de 11 ha que le petit pantin de bois rêve de vivre de grandes aventures. Il est tellement impatient de découvrir le monde ! Mais où est passé Pinocchio d’ailleurs ? Pour retrouver sa trace, il vous faudra dénicher les indices et résoudre les énigmes. Attention, Stromboli, le patron du cirque rôdera sûrement dans les allées de maïs géant, à la recherche comme vous de cette marionnette rêveuse. Sans oublier Gédéon et Grandcoquin toujours en quête de proies faciles à envoyer sur l’île des bêtises...

En pratique

Outre son dédale de maïs, le Labyrinthe recèle bien d’autres activités : le labyrinthe des portes et son enchevêtrement de corridors, le nouveau labyrinthe des mystères, le labyrinthe « des yeux grands fermés », le dédale des petits pour les 3-8 ans…

Le site est ouvert du 2 juillet au 2 octobre, de 10h à 19h (dernière entrée à 17h). Il sera animé par les comédiens tous les jours du 2 juillet au 31 août, le 27 septembre, les week-ends de septembre et le week-end des 1er et 2 octobre (pause des comédiens de 13h à 14h). La visite dure environ une demi-journée. Le Labyrinthe se situe Rue Basse Commène, à Barvaux-sur-Ourthe.

Les réservations en ligne sont vivement conseillées. Rendez-vous sur www.lelabyrinthe.be.

La Une

Courrier des lecteurs: «Le toubib, le véto et l’agronome…»

Voix de la terre L’autre jour, nous étions trois amis autour de la table. Le ministre de la santé, Frank Vandenbroucke venait d’annoncer sa décision de réduire de 80 millions le budget « médicaments » qui se situe à 6,8 milliards  € par an pour la Belgique, soit 1,1 %. Cris d’orfraie du secteur pharma, évidemment, alors que le marché belge serait, selon la presse, le plus couteux d’Europe.
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