
Aussi, ils ont fait l’acquisition de deux robots de traite. De quoi diminuer un peu leur charge de travail, eux qui font tourner la ferme en famille, sans employé.
D’octobre à mars, ceux-ci sont principalement occupés par les vêlages. En été, c’est Valérie, la maman, qui s’occupe des animaux, tandis que Pierre est aux champs pour les pressages.
De plus, l’exploitation est quasiment en autonomie fourragère. Seul l’apport protéique, avec le colza, vient de l’extérieur. « Mais on produit et on mélange tout nous-mêmes, avec nos matières premières, comme l’orge et le maïs ».
