Les troubles locomoteurs pour les ovins et les caprins : savoir partir du «bon pied»
Les troubles locomoteurs représentent un défi constant pour les éleveurs ovins et caprins. Au-delà de l’impact évident sur le bien-être animal, ils entraînent des pertes économiques considérables : baisse de la production de lait, de viande mais aussi des coûts vétérinaires élevés voire une réforme prématurée des animaux.

Les atteintes du pied sont nombreuses chez les petits ruminants et ne se résument pas au seul et bien connu « piétin ». D’origines différentes et touchant des zones distinctes du pied, elles se caractérisent par des symptômes précis. Leurs points communs : l’inconfort voire la douleur généré(e) et une cause très fréquemment infectieuse. Une gestion proactive, basée sur l’observation rigoureuse, la prévention et l’intervention rapide, est essentielle pour maintenir un élevage performant et rentable....
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique