Accueil Ovins, caprins

Ovins, caprins

Ovins, caprins

L’Ardennais Roux, une race qui garde tout son sens

Patrimoine Depuis près de 10 ans, Marie-Catherine et Nicolas élèvent un petit troupeau de moutons, d’une race ancienne et bien de chez nous : l’Ardennais Roux. Décrite comme une race rustique et facile à élever, c’est ce qui a fait pencher le cœur de ces éleveurs.
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

Abonnez-vous

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles

Voir l'offre d'abonnement

Quand la laine de mouton se transforme en un feutre de paillage aux multiples atouts

Woolconcept, c’est une histoire de famille, mais aussi une diversification atypique, menée depuis le toit de la Belgique. C’est un projet dans lequel interviennent des agriculteurs, à la fois comme fournisseurs et clients de la société. Enfin, c’est la valorisation d’une laine de mouton 100 % belge, souvent délaissée, en plusieurs matériaux de construction, en paillage maraîcher ou encore en articles de literie.

Un nouveau projet pour soutenir l’élevage ovin en Wallonie

Si le secteur ovin est en pleine expansion en Wallonie, il manque encore de données précises pour garantir sa pérennité et optimiser son développement. « Couprod », le nouvel outil initié par le collège des producteurs, a pour vocation d’aider les éleveurs à améliorer la rentabilité et la durabilité de leur exploitation.

L’obligation de vaccination des bovins et ovins approuvée en commission

La commission de la Santé de la Chambre a adopté mardi une proposition de loi du MR rendant obligatoire, à partir du 1er janvier 2025, la vaccination des bovins et des ovins contre la fièvre catarrhale, connue également sous le nom de « maladie de la langue bleue ». Plus précisément, il s’agit de vaccins contre la langue bleue (sérotype 3 et 8) et la MHE (maladie hémorragique épizootique).

Le choix des lecteurs

Marchés agricoles européens: le porc en repli, derrière la volaille et la viande bovine

Si la viande de volaille s’affiche en net progrès, tant sur le plan de la production que des exportations, la dynamique est différente pour les autres filières. Ainsi, la situation sanitaire actuelle pèse lourdement sur le secteur ovin, tandis que la filière porcine fait face à une concurrence accrue du Brésil et des États-Unis. Quant à la viande bovine, elle voit ses exportations croître, bien que l’offre s’affaiblisse.

2024, une année noire pour l’élevage ovin: «Jusqu’à 75.000€ de perte!»

Antoine Mabille fait partie des voix agricoles qui se sont élevées il y a moins d’un an de cela. Quelques mois plus tard, comme tant d’autres, il n’a toujours pas l’impression d’avoir été écouté. D’autant plus qu’aux inquiétudes déjà bien présentes dans le secteur se sont ajoutées les pertes liées à la fièvre catarrhale ovine. À la Bergerie des Arches, au total, 38 bêtes ont succombé à la maladie de la langue bleue, sans compter ses multiples conséquences, comme la morbidité des animaux, l’infertilité, ou encore les avortements. Et alors qu’une nouvelle année approche, une chose est certaine : si l’on sort la calculette, le bilan de 2024 s’annonce déjà terriblement lourd pour l’élevage ovin.

FCO: la vaccination obligatoire représente un coût de l’ordre de 40 millions, selon le ministre

Le ministre fédéral de l’Agriculture David Clarinval a estimé mardi en commission de la Santé de la Chambre que le coût d’une prise en charge par le fédéral de la vaccination obligatoire décidée pour 2025 pour les bovins et ovins serait de l’ordre de 35 à 40 millions. « J’ai déposé sur le bureau de la secrétaire d’État au Budget, il y a quelques jours, une proposition visant à prendre en charge les coûts vaccinaux », indique-t-il, espérant un avis positif de sa part et un soutien des autres vice-Premiers.

Modification dans l’organisation de la campagne hivernale de monitoring des troupeaux

Chaque année, l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire sollicite les détenteurs de bovins et leur vétérinaire d’épidémiosurveillance pour réaliser un monitoring en 3 volets pendant la période hivernale. Toutefois, pour la période 2024-2025, des changements notables ont été apportés dans l’organisation de cette surveillance en raison de l’épidémie de fièvre catarrhale ovine.