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Ovins, caprins

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Pâturage ovin des couverts d’interculture: une collaboration «gagnant-gagnant»

Ovins, caprins Verra-t-on bientôt de plus en plus de moutons pâturer les couverts d’intercultures dans les campagnes wallonnes ? En tout cas, cette pratique semble avoir le vent en poupe… Logique, puisqu’elle comporte de nombreux avantages, tant pour l’éleveur que pour le cultivateur. Un partenariat « gagnant-gagnant » à mettre en place en respectant plusieurs précautions, notamment sanitaires, pour qu’il tienne toutes ses promesses.
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L’obligation de vaccination des bovins et ovins approuvée en commission

La commission de la Santé de la Chambre a adopté mardi une proposition de loi du MR rendant obligatoire, à partir du 1er janvier 2025, la vaccination des bovins et des ovins contre la fièvre catarrhale, connue également sous le nom de « maladie de la langue bleue ». Plus précisément, il s’agit de vaccins contre la langue bleue (sérotype 3 et 8) et la MHE (maladie hémorragique épizootique).

Marchés agricoles européens: le porc en repli, derrière la volaille et la viande bovine

Si la viande de volaille s’affiche en net progrès, tant sur le plan de la production que des exportations, la dynamique est différente pour les autres filières. Ainsi, la situation sanitaire actuelle pèse lourdement sur le secteur ovin, tandis que la filière porcine fait face à une concurrence accrue du Brésil et des États-Unis. Quant à la viande bovine, elle voit ses exportations croître, bien que l’offre s’affaiblisse.

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2024, une année noire pour l’élevage ovin: «Jusqu’à 75.000€ de perte!»

Antoine Mabille fait partie des voix agricoles qui se sont élevées il y a moins d’un an de cela. Quelques mois plus tard, comme tant d’autres, il n’a toujours pas l’impression d’avoir été écouté. D’autant plus qu’aux inquiétudes déjà bien présentes dans le secteur se sont ajoutées les pertes liées à la fièvre catarrhale ovine. À la Bergerie des Arches, au total, 38 bêtes ont succombé à la maladie de la langue bleue, sans compter ses multiples conséquences, comme la morbidité des animaux, l’infertilité, ou encore les avortements. Et alors qu’une nouvelle année approche, une chose est certaine : si l’on sort la calculette, le bilan de 2024 s’annonce déjà terriblement lourd pour l’élevage ovin.

FCO: la vaccination obligatoire représente un coût de l’ordre de 40 millions, selon le ministre

Le ministre fédéral de l’Agriculture David Clarinval a estimé mardi en commission de la Santé de la Chambre que le coût d’une prise en charge par le fédéral de la vaccination obligatoire décidée pour 2025 pour les bovins et ovins serait de l’ordre de 35 à 40 millions. « J’ai déposé sur le bureau de la secrétaire d’État au Budget, il y a quelques jours, une proposition visant à prendre en charge les coûts vaccinaux », indique-t-il, espérant un avis positif de sa part et un soutien des autres vice-Premiers.

Modification dans l’organisation de la campagne hivernale de monitoring des troupeaux

Chaque année, l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire sollicite les détenteurs de bovins et leur vétérinaire d’épidémiosurveillance pour réaliser un monitoring en 3 volets pendant la période hivernale. Toutefois, pour la période 2024-2025, des changements notables ont été apportés dans l’organisation de cette surveillance en raison de l’épidémie de fièvre catarrhale ovine.

Comment l’insémination artificielle pourrait transformer l’élevage caprin en Wallonie

Faire confiance à l’insémination artificielle pour ses chèvres laitières : c’est le cap franchi par Leen Hypacie depuis maintenant deux ans. Une manière de travailler qui lui permet, entre autres, de diversifier la génétique de ses animaux tout en se prémunissant des risques sanitaires. Pour y parvenir, l’éleveuse a pu compter sur Thomas Bertin, l’un des rares vétérinaires wallons formés à l’insémination caprine grâce au soutien d’Inovéo. Ensemble, ils nous parlent de cette méthode bien spécifique… où rien n’est laissé au hasard !