Accueil Equipements

Trois questions à… Martine Dégremont, directrice du Sima

Temps de lecture : 2 min

Lors de la présentation de la 77e  édition du Sima à la presse, fin novembre à Paris, Martine Dégremont, directrice du salon, a répondu aux questions du Sillon Belge.

  Face à la concurrence d’autres grands salons internationaux, le Sima reste-t-il un incontournable ?

Martine Dégremont (M.D.) : À mon sens, le Sima reste un rendez-vous incontournable pour les agriculteurs du monde entier pour trois raisons majeures. Premièrement, notre offre est adaptée à toutes les agricultures (conventionnelle, bio…), quelle que soit la taille des exploitations. Deuxièmement, nous proposons un pôle élevage, grâce au Simagena, intégrant de nombreuses ventes aux enchères internationales et du matériel. Enfin, le Sima reste le salon de référence en Afrique. Lors de chaque édition, nous accueillons de nombreux visiteurs et délégations de ce continent.

  Dans le contexte de crise actuel, craignez-vous une baisse de fréquentation du salon ?

M.D. : De leur côté, les exposants ont répondu présent. Ils seront d’ailleurs plus nombreux qu’en 2015, estimant que la tendance va s’inverser. Concernant les visiteurs, nous souhaitons les faire venir en diffusant un message pratique et positif. Nous souhaitons également les éclairer sur leur avenir, peu importe leur pays d’origine.

  Pourquoi les agriculteurs belges doivent-ils faire le déplacement jusqu’à Paris ?

M.D. : Car, comme tous les agriculteurs, le Belge souhaite savoir comment va évoluer son métier dans les années à venir en matière de technique, d’environnement, d’économie… Le Sima est là pour lui apporter des réponses, en toute convivialité.

J.V.

A lire aussi en Equipements

Voir plus d'articles