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Yes we plant :encourager le reboisement

Depuis une trentaine d’années, le renouvellement des forêts résineuses n’est plus suffisamment assuré. Un sujet d’inquiétude pour la Société royale forestière qui organise à cette fin une conférence.

Temps de lecture: 1 min

Alors que la demande en bois ne fait qu’augmenter, la Srfb (Société royale forestière de Belgique) tire la sonnette d’alarme. Depuis environ 30 ans, ce sont 16.000 ha de forêt résineuse qui n’ont pas été reboisés. Ce qui fait craindre la filière bois pour la pérennité de son approvisionnement à moyen terme ainsi que pour les emplois qui en découlent.

Pour réhabiliter le reboisement résineux et favoriser sa mise en œuvre en Wallonie, la Srfb organise le mercredi 19 avril de 17h45 à 22h, une conférence à l’Eurospacecenter, Devant les hêtres, 1 à 6890 Transinne – Libin. Au programme : pourquoi reboiser avec du résineux, comment s’y prendre, quelles essences choisir, quel investissement et quelle rentabilité ?

La conférence sera complétée par des guichets d’informations tenus par des pépiniéristes, experts forestiers, entrepreneurs, associations de formation et de vulgarisation… Le but de ces guichets sera d’aider à répondre aux incertitudes des propriétaires forestiers et de les aider à franchir le pas du reboisement.

Plus d’informations et inscription obligatoire : www.srfb.be/fr/yes_we_plant.

Plus d’infos

Contactez Nicolas Dassonville au 02 223 09 01 ou par nicolas.dassonville@srfb-kbbm.be.

La Une

Le travail en bandes ou sur ados est presque généralisé en maraîchage. La structure du sol au niveau des inter-bandes, c'est-à-dire sous les passages des roues, est sacrifiée pour préserver la zone semée ou plantée sur laquelle on ne met jamais les pieds ni les roues.

L’importance de respecter le sol et de savoir patienter en prévision de l’année prochaine

Maraîchage Les cultures maraîchères sont très sensibles aux défauts du sol. Il est donc important d’orienter les travaux aratoires pour assurer aux plantes le meilleur développement possible des racines. Si les quelques jours de cette première décade de mai, moins pluvieux, ont permis de les réaliser, dans de nombreuses régions, les sols sont à peine ressuyés. La terre s’y travaille très mal, reste compacte et froide. Sur ces sites et chaque fois que c’est possible, il est préférable d’attendre avant d’intervenir au risque de dégrader la structure pour de nombreux mois.
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